Le féminisme se bat pour l'égalité des hommes et des femmes, c'est bien ça?
Vraiment?
Alors comment expliquer ceci:
La prestigieuse université britannique a accordé 15 minutes supplémentaires aux femmes à leurs examens de mathématiques et d’informatique, pour améliorer leurs résultats inférieurs à ceux des hommes.
Vous voyez? Pour des féministes, c'est ÇA l'égalité.
Posséder les mêmes droits que les hommes, l'égalité des chances et des opportunités, un traitement égal et équitable, cela ne suffit plus.
(...) Au sein de cette composante d’Oxford, il s’avère que les étudiants qui obtiennent leur diplôme avec la plus haute distinction (first class degree, ndlr) sont deux fois plus nombreux que les étudiantes. En 2016, le jury des examinateurs de l’université avait déjà suggéré que des changements soient mis en place pour améliorer les résultats des femmes.
Lorsque des données suggèrent que les femmes ont généralement un avantage sur les hommes, la nouvelle est célébrée et sert de prétexte pour ridiculiser les hommes et louanger la supériorité des femmes.
Mais lorsque des données suggèrent que les hommes réussissent généralement mieux que les femmes en maths et en informatique, alors là! Ça, ce n'est pas acceptable et on s'empresse de créer des quotas, des bourses, des campagnes de sensibilisation et de donner du temps supplémentaire lors les évaluations!
L’augmentation du temps d’examen n’a aucune incidence sur la longueur ou la difficulté des sujets distribués. Elle avait simplement pour but de répondre à la supposition des examinateurs que «les femmes candidates sont susceptibles d’être plus affectées par la pression du temps».
Les femmes sont plus affectées par la pression du temps! Les pauvres! Quels pauvres petits êtres fragiles! Vite, donnons-leur du temps supplémentaire! Après tout, lorsqu'elles seront sur le marché du travail, ce n'est pas comme si le temps sera un facteur important! Leur patron n'aura qu'à leur accorder plus de temps qu'à leurs collègues masculins, même si cela signifie une baisse d'efficacité et de revenus pour l'entreprise! Et s'il refuse, on l'accusera d'être un salopard de sexiste misogyne et on lui balancera des fausses accusations de harcèlement en pleine gueule via Twitter! Problème réglé!
Helen Zha, membre de la Société Mirzahkani, une association étudiante d’Oxford qui encourage la féminisation des mathématiques, explique que les étudiantes sont moins efficaces dans la résolution de problèmes quand il y a des étudiants hommes dans la même salle.
Ah! ben voilà la prochaine étape! La ségrégation! Génial!
Pour ce qui est de la "féminisation des mathématiques", laissons la parole à Lisa Simpson:
Sarah Hart, professeur de mathématiques à l’université de Londres et diplômée d’Oxford, explique au Times que les étudiantes prennent plus de temps avant de donner une réponse en classe, car elles s’assurent d’avoir la bonne réponse quand les étudiants répondent plus vite, même s’ils sont plus susceptibles de se tromper.
Ah ben voilà l'explication! Si les femmes réussissent moins bien, ce n'est certainement pas parce que les hommes sont généralement plus efficaces dans ces domaines qu'elles! Ben non! Ôtez-vous ça de la tête, bande de sales phallocrates! C'est simplement parce qu'elles sont plus minutieuses, voilà tout! Elles prennent le temps de bien faire plutôt que de répondre n'importe quoi! Vous voyez, même leurs faiblesses sont des forces!
Malheureusement pour la jolie théorie de Mme Hart, même lorsqu'on leur donne du temps supplémentaire, les minutieuses étudiantes continuent de réussir moins bien que leurs idiots de camarades masculins qui écrivent n'importe quoi:
(...) Les notes des étudiantes ont progressé, s’approchant du niveau requis pour obtenir un «first». Mais les hommes restent toutefois plus nombreux à obtenir cette mention que les femmes en mathématiques et en informatique. Oxford a néanmoins indiqué vouloir poursuivre l’expérimentation dans les années à venir.
Oui! Continuons le combat! Je propose que nous créions un examen plus facile pour les femmes que celui qui sera donné aux hommes!
Et si ça ne fonctionne pas non plus, on pourrait peut-être leur donner une partie des réponses?
Et si ça ne suffit pas, ne soumettons pas les étudiantes à ces évaluations, tout simplement. Si une femme nous dit qu'elle est compétente, croyons-la sur parole!
Ne pas la croire est déjà interdit lorsqu'il est question d'allégations de harcèlement, étendons le même principe à la compétence scolaire! Laissons-les choisir la note qu'elles croient mériter! Problème réglé!
Je laisse le dernier mot à Shoe0nHead:
Vraiment?
Alors comment expliquer ceci:
La prestigieuse université britannique a accordé 15 minutes supplémentaires aux femmes à leurs examens de mathématiques et d’informatique, pour améliorer leurs résultats inférieurs à ceux des hommes.
Vous voyez? Pour des féministes, c'est ÇA l'égalité.
Posséder les mêmes droits que les hommes, l'égalité des chances et des opportunités, un traitement égal et équitable, cela ne suffit plus.
(...) Au sein de cette composante d’Oxford, il s’avère que les étudiants qui obtiennent leur diplôme avec la plus haute distinction (first class degree, ndlr) sont deux fois plus nombreux que les étudiantes. En 2016, le jury des examinateurs de l’université avait déjà suggéré que des changements soient mis en place pour améliorer les résultats des femmes.
Lorsque des données suggèrent que les femmes ont généralement un avantage sur les hommes, la nouvelle est célébrée et sert de prétexte pour ridiculiser les hommes et louanger la supériorité des femmes.
Mais lorsque des données suggèrent que les hommes réussissent généralement mieux que les femmes en maths et en informatique, alors là! Ça, ce n'est pas acceptable et on s'empresse de créer des quotas, des bourses, des campagnes de sensibilisation et de donner du temps supplémentaire lors les évaluations!
L’augmentation du temps d’examen n’a aucune incidence sur la longueur ou la difficulté des sujets distribués. Elle avait simplement pour but de répondre à la supposition des examinateurs que «les femmes candidates sont susceptibles d’être plus affectées par la pression du temps».
Les femmes sont plus affectées par la pression du temps! Les pauvres! Quels pauvres petits êtres fragiles! Vite, donnons-leur du temps supplémentaire! Après tout, lorsqu'elles seront sur le marché du travail, ce n'est pas comme si le temps sera un facteur important! Leur patron n'aura qu'à leur accorder plus de temps qu'à leurs collègues masculins, même si cela signifie une baisse d'efficacité et de revenus pour l'entreprise! Et s'il refuse, on l'accusera d'être un salopard de sexiste misogyne et on lui balancera des fausses accusations de harcèlement en pleine gueule via Twitter! Problème réglé!
Helen Zha, membre de la Société Mirzahkani, une association étudiante d’Oxford qui encourage la féminisation des mathématiques, explique que les étudiantes sont moins efficaces dans la résolution de problèmes quand il y a des étudiants hommes dans la même salle.
Ah! ben voilà la prochaine étape! La ségrégation! Génial!
Pour ce qui est de la "féminisation des mathématiques", laissons la parole à Lisa Simpson:
Sarah Hart, professeur de mathématiques à l’université de Londres et diplômée d’Oxford, explique au Times que les étudiantes prennent plus de temps avant de donner une réponse en classe, car elles s’assurent d’avoir la bonne réponse quand les étudiants répondent plus vite, même s’ils sont plus susceptibles de se tromper.
Ah ben voilà l'explication! Si les femmes réussissent moins bien, ce n'est certainement pas parce que les hommes sont généralement plus efficaces dans ces domaines qu'elles! Ben non! Ôtez-vous ça de la tête, bande de sales phallocrates! C'est simplement parce qu'elles sont plus minutieuses, voilà tout! Elles prennent le temps de bien faire plutôt que de répondre n'importe quoi! Vous voyez, même leurs faiblesses sont des forces!
Malheureusement pour la jolie théorie de Mme Hart, même lorsqu'on leur donne du temps supplémentaire, les minutieuses étudiantes continuent de réussir moins bien que leurs idiots de camarades masculins qui écrivent n'importe quoi:
(...) Les notes des étudiantes ont progressé, s’approchant du niveau requis pour obtenir un «first». Mais les hommes restent toutefois plus nombreux à obtenir cette mention que les femmes en mathématiques et en informatique. Oxford a néanmoins indiqué vouloir poursuivre l’expérimentation dans les années à venir.
Oui! Continuons le combat! Je propose que nous créions un examen plus facile pour les femmes que celui qui sera donné aux hommes!
Et si ça ne fonctionne pas non plus, on pourrait peut-être leur donner une partie des réponses?
Et si ça ne suffit pas, ne soumettons pas les étudiantes à ces évaluations, tout simplement. Si une femme nous dit qu'elle est compétente, croyons-la sur parole!
Ne pas la croire est déjà interdit lorsqu'il est question d'allégations de harcèlement, étendons le même principe à la compétence scolaire! Laissons-les choisir la note qu'elles croient mériter! Problème réglé!
Je laisse le dernier mot à Shoe0nHead: