L'auteure de ce conte est une très bonne amie à moi. C'est une enseignante hors pair que j'ai rencontrée il y a une quinzaine d'années lorsque j'enseignais à Montréal. Elle a des valeurs très semblables aux miennes et nous nous sommes tout de suite entendus à merveille, fait rarissime dans ma carrière.
Elle non plus ne croyait pas à l'approche disciplinaire, coercitive et dominatrice qui est encore si courante dans nos écoles. Comme moi, elle croyait à la collaboration et tentait d'abord et avant tout de créer une atmosphère de bonheur et de respect dans ses classes afin que les enfants puissent s'y exprimer et s'y épanouir librement.
Faire la rencontre de cette femme a été une véritable révélation pour moi. Non, je n'étais pas seul. Non, je n'étais pas fou. Il est possible de faire les choses différemment, envers et contre tous. C'est difficile, c'est un combat de chaque instant, mais c'est possible.
En apprenant à la connaître à l'extérieur de l'école, j'ai découvert une personne tout à fait remarquable. Sylvie est une femme qui a eu une vie remplie d'embûches et d'épreuves colossales. Elle s'est fait déchirer le coeur plus souvent qu'à son tour et a dû surmonter des problèmes de santé majeurs. Je connais des gens qui sont devenus aigris et apathiques pour moins que ça. Mais pas elle. Cette femme a un feu inextinguible qui lui brûle dans le ventre. C'est une force de la nature. Elle est passionnée, têtue et d'une persévérance hors du commun.
Plus d'une décennie plus tard, nous sommes toujours amis, autre fait rarissime dans ma vie. Elle a été d'une aide absolument indispensable dans le processus de rédaction de mon livre, Un homme au primaire. Elle m'a aidé à remettre de l'ordre dans mes propos, à les tempérer ici, à les préciser là. Sans elle, le manuscrit dormirait encore sur mon disque dur et j'aurais été le seul à le lire. Elle a d'ailleurs accepté d'écrire une magnifique préface à mon livre et je lui en suis profondément reconnaissant.
Aujourd'hui, à la veille de sa retraite, elle enseigne dans le Bas-Saint-Laurent à des jeunes adultes, des ex-décrocheurs qui reviennent à l'école. La courage et la détermination de ces jeunes, combinés à son propre vécu, lui ont inspiré ce conte qu'elle a publié tout récemment et qu'elle intitule "Tant qu'à rêver... rêve pour vrai"
Le conte s'ouvre sur la pointe de Tadoussac où Félix, un jeune homme déçu et perdu, fait la rencontre d'un mystérieux bonhomme qui est assis là, seul, à jouer de l'harmonica. Les deux hommes s'engagent dans une conversation qui aura un impact extraordinaire sur Félix et changera complètement le cour de sa vie.
À travers un conte que le mystérieux homme raconte peu à peu pendant plusieurs jours, Félix appendra à croire en lui, à croire en ses rêves et à prendre les moyens pour les réaliser.
Ce conte est un rayon d'espoir. Impossible de le refermer sans sourire et sans avoir une chaleureuse impression dans le coeur et les tripes que tout est possible. Que la vie peut être extraordinaire et qu'il n'en tient qu'à nous. C'est un magnifique message à véhiculer en cette époque de marasme et de grisaille qui est la nôtre.
De plus, il s'agit d'un conte profondément enraciné dans la québécitude. Le fleuve, omniprésent, y jour un rôle de premier plan. Cette grande rivière coule au coeur de ce conte comme il coule au coeur de notre pays. Le conte s'articule autour de lui, comme nos familles et nos villages. Sylvie évoque et traduit à merveille sa majestueuse beauté et la fascination qu'il exerce sur nous.
Ce petit conte se lit facilement et rapidement. Il s'offre très bien à des lecteurs de 10 à 90 ans.
Si vous avez des ados ou des jeunes adultes dans votre entourage qui semblent désabusés ou qui ne savent plus ce qu'ils pourraient bien faire de leur vie, ce livre est pour eux.
Si vous connaissez des adultes qui ont perdu la faculté de rêver, ce livre est pour eux.
Si vous connaissez des gens qui sont avides d'émerveillement, ce conte les ravira.
Vous pouvez le commander en cliquant ici.
Elle non plus ne croyait pas à l'approche disciplinaire, coercitive et dominatrice qui est encore si courante dans nos écoles. Comme moi, elle croyait à la collaboration et tentait d'abord et avant tout de créer une atmosphère de bonheur et de respect dans ses classes afin que les enfants puissent s'y exprimer et s'y épanouir librement.
Faire la rencontre de cette femme a été une véritable révélation pour moi. Non, je n'étais pas seul. Non, je n'étais pas fou. Il est possible de faire les choses différemment, envers et contre tous. C'est difficile, c'est un combat de chaque instant, mais c'est possible.
En apprenant à la connaître à l'extérieur de l'école, j'ai découvert une personne tout à fait remarquable. Sylvie est une femme qui a eu une vie remplie d'embûches et d'épreuves colossales. Elle s'est fait déchirer le coeur plus souvent qu'à son tour et a dû surmonter des problèmes de santé majeurs. Je connais des gens qui sont devenus aigris et apathiques pour moins que ça. Mais pas elle. Cette femme a un feu inextinguible qui lui brûle dans le ventre. C'est une force de la nature. Elle est passionnée, têtue et d'une persévérance hors du commun.
Plus d'une décennie plus tard, nous sommes toujours amis, autre fait rarissime dans ma vie. Elle a été d'une aide absolument indispensable dans le processus de rédaction de mon livre, Un homme au primaire. Elle m'a aidé à remettre de l'ordre dans mes propos, à les tempérer ici, à les préciser là. Sans elle, le manuscrit dormirait encore sur mon disque dur et j'aurais été le seul à le lire. Elle a d'ailleurs accepté d'écrire une magnifique préface à mon livre et je lui en suis profondément reconnaissant.
Aujourd'hui, à la veille de sa retraite, elle enseigne dans le Bas-Saint-Laurent à des jeunes adultes, des ex-décrocheurs qui reviennent à l'école. La courage et la détermination de ces jeunes, combinés à son propre vécu, lui ont inspiré ce conte qu'elle a publié tout récemment et qu'elle intitule "Tant qu'à rêver... rêve pour vrai"
Le conte s'ouvre sur la pointe de Tadoussac où Félix, un jeune homme déçu et perdu, fait la rencontre d'un mystérieux bonhomme qui est assis là, seul, à jouer de l'harmonica. Les deux hommes s'engagent dans une conversation qui aura un impact extraordinaire sur Félix et changera complètement le cour de sa vie.
À travers un conte que le mystérieux homme raconte peu à peu pendant plusieurs jours, Félix appendra à croire en lui, à croire en ses rêves et à prendre les moyens pour les réaliser.
Ce conte est un rayon d'espoir. Impossible de le refermer sans sourire et sans avoir une chaleureuse impression dans le coeur et les tripes que tout est possible. Que la vie peut être extraordinaire et qu'il n'en tient qu'à nous. C'est un magnifique message à véhiculer en cette époque de marasme et de grisaille qui est la nôtre.
De plus, il s'agit d'un conte profondément enraciné dans la québécitude. Le fleuve, omniprésent, y jour un rôle de premier plan. Cette grande rivière coule au coeur de ce conte comme il coule au coeur de notre pays. Le conte s'articule autour de lui, comme nos familles et nos villages. Sylvie évoque et traduit à merveille sa majestueuse beauté et la fascination qu'il exerce sur nous.
Ce petit conte se lit facilement et rapidement. Il s'offre très bien à des lecteurs de 10 à 90 ans.
Si vous avez des ados ou des jeunes adultes dans votre entourage qui semblent désabusés ou qui ne savent plus ce qu'ils pourraient bien faire de leur vie, ce livre est pour eux.
Si vous connaissez des adultes qui ont perdu la faculté de rêver, ce livre est pour eux.
Si vous connaissez des gens qui sont avides d'émerveillement, ce conte les ravira.
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