Le titre qu'a donné Mme Elkouri à son dernier article, c'est "sexisme inversé".
Avant de plonger dans son argumentaire, permettez-moi immédiatement de dire que les gens qui parlent de "sexisme inversé" ou de "racisme inversé" sont des imbéciles.
Ce qu'ils démontrent en disant des âneries pareilles, c'est qu'ils croient vraiment que seuls les hommes peuvent être sexistes et que seuls les blancs peuvent être racistes. Cela est non seulement d'une fausseté absolue, c'est même une perversion idéologique du sens de ces mots.
Des femmes sexistes, il y en a plein. Des noirs racistes, ça existe. Alors fichez-nous la paix avec vos histoires d'inversions imaginaires qui ne font qu'illustrer votre propre aveuglement volontaire.
Extraits de la plus récente vomissure de Rima Elkouri:
Que se passerait-il si nous vivions dans un monde inversé où les femmes étaient au pouvoir ?
Savez-vous qui peut répondre à cette question?
Moi.
Pour moi, le monde imaginaire qu'évoque Mme Elkouri constitue ma réalité quotidienne.
Depuis 22 ans, je suis en minorité. La vaste majorité de mes collègues, de mes patrons, de mes représentants syndicaux et de mes supérieurs hiérarchiques sont des femmes.
Et j'ai été la victime de leur sexisme et de leur misandrie à de multiple reprises.
J'en ai fait un livre.
Mais Mme Elkouri ne le lira jamais.
Cela bousculerait beaucoup trop son précieux biais idéologique.
(...) Le long métrage Je ne suis pas un homme facile est en quelque sorte l'aboutissement d'un conte de fées féministe. Il devient le premier film français diffusé en exclusivité par Netflix.
Mme Elkouri considère qu'un film qui raconte l'oppression des hommes par les femmes est un "conte de fées".
Fascinant.
Le film raconte l'histoire de Damien (Vincent Elbaz), macho invétéré qui se fait rendre la monnaie de sa pièce le jour où il se réveille dans un monde injuste dominé par les femmes. Du jour au lendemain, il devient un homme-objet. Des femmes le harcèlent et lui font des remarques sexistes. Une patronne lui dit que son projet est « trop intelligent » et lui fait des avances sexuelles. Il est soumis aux diktats les plus ridicules de la mode et doit constamment combattre les préjugés sexistes qui accablent les hommes.
Je vis ça quotidiennement depuis 22 ans.
On m'a harcelé. On a multiplié les remarques sexistes à mon égard. Il y a quelques semaines seulement, ma patronne m'a dit d'arrêter d'utiliser des "grands mots". Mes idées et propositions sont, au mieux, ridiculisées, au pire, perçues comme des raisons valides de m'attaquer et de m'ostraciser. On m'a fait de nombreuses avances sexuelles ainsi que des attouchements non désirés. Je suis l'éternel outsider. L'autre. Réduit au simple fait d'être un gars et rien de plus.
À chaque jour, je dois composer avec les pires préjugés sexistes qui accablent les hommes, surtout ceux qui sont en présence d'enfants. À chaque jour je suis observé avec soupçon comme s'il y avait quelque chose de louche à ce qu'un homme veuille passer du temps avec des enfants. Je dois être un pédophile. À tous les jours je dois faire mes preuves. À tous les jours, je dois faire la démonstration de mon innocence. À tous les jours, chacun de mes gestes et chacune de mes paroles sont scrutés à la loupe. À tous les jours.
J'en ai fait un livre.
Mais rassurez-vous, Mme Elkouri ne le lira pas.
Ça ne cadre pas trop avec son idéologie de féministe fanatisée...
Avant de plonger dans son argumentaire, permettez-moi immédiatement de dire que les gens qui parlent de "sexisme inversé" ou de "racisme inversé" sont des imbéciles.
Ce qu'ils démontrent en disant des âneries pareilles, c'est qu'ils croient vraiment que seuls les hommes peuvent être sexistes et que seuls les blancs peuvent être racistes. Cela est non seulement d'une fausseté absolue, c'est même une perversion idéologique du sens de ces mots.
Des femmes sexistes, il y en a plein. Des noirs racistes, ça existe. Alors fichez-nous la paix avec vos histoires d'inversions imaginaires qui ne font qu'illustrer votre propre aveuglement volontaire.
Extraits de la plus récente vomissure de Rima Elkouri:
Que se passerait-il si nous vivions dans un monde inversé où les femmes étaient au pouvoir ?
Savez-vous qui peut répondre à cette question?
Moi.
Pour moi, le monde imaginaire qu'évoque Mme Elkouri constitue ma réalité quotidienne.
Depuis 22 ans, je suis en minorité. La vaste majorité de mes collègues, de mes patrons, de mes représentants syndicaux et de mes supérieurs hiérarchiques sont des femmes.
Et j'ai été la victime de leur sexisme et de leur misandrie à de multiple reprises.
J'en ai fait un livre.
Mais Mme Elkouri ne le lira jamais.
Cela bousculerait beaucoup trop son précieux biais idéologique.
(...) Le long métrage Je ne suis pas un homme facile est en quelque sorte l'aboutissement d'un conte de fées féministe. Il devient le premier film français diffusé en exclusivité par Netflix.
Mme Elkouri considère qu'un film qui raconte l'oppression des hommes par les femmes est un "conte de fées".
Fascinant.
Le film raconte l'histoire de Damien (Vincent Elbaz), macho invétéré qui se fait rendre la monnaie de sa pièce le jour où il se réveille dans un monde injuste dominé par les femmes. Du jour au lendemain, il devient un homme-objet. Des femmes le harcèlent et lui font des remarques sexistes. Une patronne lui dit que son projet est « trop intelligent » et lui fait des avances sexuelles. Il est soumis aux diktats les plus ridicules de la mode et doit constamment combattre les préjugés sexistes qui accablent les hommes.
Je vis ça quotidiennement depuis 22 ans.
On m'a harcelé. On a multiplié les remarques sexistes à mon égard. Il y a quelques semaines seulement, ma patronne m'a dit d'arrêter d'utiliser des "grands mots". Mes idées et propositions sont, au mieux, ridiculisées, au pire, perçues comme des raisons valides de m'attaquer et de m'ostraciser. On m'a fait de nombreuses avances sexuelles ainsi que des attouchements non désirés. Je suis l'éternel outsider. L'autre. Réduit au simple fait d'être un gars et rien de plus.
À chaque jour, je dois composer avec les pires préjugés sexistes qui accablent les hommes, surtout ceux qui sont en présence d'enfants. À chaque jour je suis observé avec soupçon comme s'il y avait quelque chose de louche à ce qu'un homme veuille passer du temps avec des enfants. Je dois être un pédophile. À tous les jours je dois faire mes preuves. À tous les jours, je dois faire la démonstration de mon innocence. À tous les jours, chacun de mes gestes et chacune de mes paroles sont scrutés à la loupe. À tous les jours.
J'en ai fait un livre.
Mais rassurez-vous, Mme Elkouri ne le lira pas.
Ça ne cadre pas trop avec son idéologie de féministe fanatisée...