J'ai été très étonné par le titre de cette chronique de François Cardinal, publiée dans La Presse.
En effet, je croyais être un des seuls à utiliser le terme "multiculturaliste", mais je m'aperçois qu'il est plus répandu que ce que je pensais.
Il faut dire que, contrairement à la plupart des ours, je fais l'effort de consulter les médias qui propagent des points de vue différents des miens afin de ne pas me retrouver dans une bulle de gens qui pensent tous comme moi. Or, dans la vaste majorité des médias que je consulte, le terme "multiculturaliste" n'est à peu près jamais utilisé.
Avant de répondre à la chronique de M. Cardinal, je crois qu'il serait approprié de définir ce que j'entends lorsque je parle d'un "multiculturaliste". Voici donc les principaux aspects qui caractérisent la pensée de ces gens.
Ceci est le fruit d'une longue réflexion et de nombreuses lectures et conversations. Que vous soyez en accord ou pas avec certains de mes arguments, vos commentaires sont les bienvenus.
1- AVEUGLEMENT IDÉOLOGIQUE ET VISION MANICHÉENNE
Un multiculturaliste fait preuve d'un profond aveuglement idéologique et élève la thèse du multiculturalisme au rang inattaquable de vérité sacrée. Par conséquent, il s'agit également d'une personne qui diabolise quiconque ose critiquer cette idée en le traitant de xénophobe, de raciste, d'islamophobe, de redneck, de maniaque d'extrême-droite et de nazi.
Ce phénomène n'est pas exclusif aux multiculturalistes, mais caractérise tous les fanatismes idéologiques. Les chrétiens vous traiteront d'hérétiques, les musulmans de kafirs, les féministes de misogynes, les marxistes de classistes, etc. L'objectif est toujours le même: diaboliser les gens qui ne pensent pas comme eux.
Sébastien Bilodeau l'exprime très bien dans cet article: "C’est le paradoxe des gens attachés à l’adjectif «inclusif». Leur discours est un récit qui dépeint le politique comme une lutte entre deux clans. D’un côté, ceux qui «repoussent certaines communautés»: des réactionnaires identitaires et hostiles à l’immigration. De l’autre, ceux qui ne sont pas dans la «crainte de l’autre»: les militants éclairés de la diversité et de l’ouverture à l’autre. Dans la mythologie de cet univers idéologique (...) le débat doit inclure la diversité, mais les nationalistes identitaires ne sont pas invités à cette diversité. Ils seraient trop attardés, idéologiquement, pour pouvoir participer au dialogue."
En effet, les multiculturalistes abhorrent tellement les gens qui critiquent leur idéologie qu'ils n'hésiteront même pas à s'attaquer à la liberté d'expression elle-même pour les faire taire:
Une loi LIBERTICIDE!
La liberté d'expression menacée
Le professeur Gad Saad, lui-même issu de l'immigration, dénonce le climat d'intimidation qui règne actuellement dans la société, plus spécifiquement dans les milieux universitaires, et qui vise essentiellement à faire taire les gens qui OSENT exprimer un désaccord avec le féminisme et le multiculturalisme.
Ajoutez à cela les manipulations malhonnêtes des médias multiculturalistes comme La Presse et vous constatez qu'on a un sérieux problème sur les bras!
2- LA MAGIE DE L'IMMIGRATION
Un multiculturaliste croit fermement que des niveaux d'immigration élevés sont la solution à pratiquement tous les problèmes sociaux et démographiques de la société, tel que le vieillissement de la population, les bas taux de natalité, le fardeau fiscal des travailleurs ou le racisme.
Pour eux, la DIVERSITÉ ETHNIQUE est le remède à tous les maux, ce qui est extrêmement ironique lorsqu'on repense au point précédent et à leur intolérance extrême face à la diversité d'opinions.
Comme le multiculturaliste considère son idéologie parfaitement sublime, il refusera catégoriquement d'écouter les experts et de lire les études sérieuses qui démontrent clairement que, non seulement l'immigration massive n'est pas la solution à nos problèmes, mais qu'en plus elle emmène de nouveaux problèmes:
Le Québec accueille-t-il trop d'immigrants?
L'immigration N'EST PAS une solution au vieillissement de la population
La vérité à propos de l'immigration
«Le remède imaginaire: pourquoi l’immigration ne sauvera pas le Québec»
L'immigration massive entraîne des baisses de salaire
Ce refus de voir la réalité rend le multiculturaliste particulièrement dangereux lorsqu'il occupe un poste de pouvoir. Le politicien multiculturaliste, incapable de remettre en question ses propres convictions idéologiques, refuse d'entendre la voix de la raison et continue à claironner qu'il faut accueillir toujours plus d'immigrants. Il ne recule devant rien pour promouvoir son idéologie et ira jusqu'à organiser des campagnes de propagande et de désinformation financées à même les fonds publics pour l'enfoncer dans la gorge de la population. Il n'hésitera pas non plus à instrumentaliser les établissements scolaires pour endoctriner les enfants dès leur plus jeune âge:
Vaste campagne pro-immigration
En effet, je croyais être un des seuls à utiliser le terme "multiculturaliste", mais je m'aperçois qu'il est plus répandu que ce que je pensais.
Il faut dire que, contrairement à la plupart des ours, je fais l'effort de consulter les médias qui propagent des points de vue différents des miens afin de ne pas me retrouver dans une bulle de gens qui pensent tous comme moi. Or, dans la vaste majorité des médias que je consulte, le terme "multiculturaliste" n'est à peu près jamais utilisé.
Avant de répondre à la chronique de M. Cardinal, je crois qu'il serait approprié de définir ce que j'entends lorsque je parle d'un "multiculturaliste". Voici donc les principaux aspects qui caractérisent la pensée de ces gens.
Ceci est le fruit d'une longue réflexion et de nombreuses lectures et conversations. Que vous soyez en accord ou pas avec certains de mes arguments, vos commentaires sont les bienvenus.
1- AVEUGLEMENT IDÉOLOGIQUE ET VISION MANICHÉENNE
Un multiculturaliste fait preuve d'un profond aveuglement idéologique et élève la thèse du multiculturalisme au rang inattaquable de vérité sacrée. Par conséquent, il s'agit également d'une personne qui diabolise quiconque ose critiquer cette idée en le traitant de xénophobe, de raciste, d'islamophobe, de redneck, de maniaque d'extrême-droite et de nazi.
Ce phénomène n'est pas exclusif aux multiculturalistes, mais caractérise tous les fanatismes idéologiques. Les chrétiens vous traiteront d'hérétiques, les musulmans de kafirs, les féministes de misogynes, les marxistes de classistes, etc. L'objectif est toujours le même: diaboliser les gens qui ne pensent pas comme eux.
Sébastien Bilodeau l'exprime très bien dans cet article: "C’est le paradoxe des gens attachés à l’adjectif «inclusif». Leur discours est un récit qui dépeint le politique comme une lutte entre deux clans. D’un côté, ceux qui «repoussent certaines communautés»: des réactionnaires identitaires et hostiles à l’immigration. De l’autre, ceux qui ne sont pas dans la «crainte de l’autre»: les militants éclairés de la diversité et de l’ouverture à l’autre. Dans la mythologie de cet univers idéologique (...) le débat doit inclure la diversité, mais les nationalistes identitaires ne sont pas invités à cette diversité. Ils seraient trop attardés, idéologiquement, pour pouvoir participer au dialogue."
En effet, les multiculturalistes abhorrent tellement les gens qui critiquent leur idéologie qu'ils n'hésiteront même pas à s'attaquer à la liberté d'expression elle-même pour les faire taire:
Une loi LIBERTICIDE!
La liberté d'expression menacée
Le professeur Gad Saad, lui-même issu de l'immigration, dénonce le climat d'intimidation qui règne actuellement dans la société, plus spécifiquement dans les milieux universitaires, et qui vise essentiellement à faire taire les gens qui OSENT exprimer un désaccord avec le féminisme et le multiculturalisme.
Ajoutez à cela les manipulations malhonnêtes des médias multiculturalistes comme La Presse et vous constatez qu'on a un sérieux problème sur les bras!
2- LA MAGIE DE L'IMMIGRATION
Un multiculturaliste croit fermement que des niveaux d'immigration élevés sont la solution à pratiquement tous les problèmes sociaux et démographiques de la société, tel que le vieillissement de la population, les bas taux de natalité, le fardeau fiscal des travailleurs ou le racisme.
Pour eux, la DIVERSITÉ ETHNIQUE est le remède à tous les maux, ce qui est extrêmement ironique lorsqu'on repense au point précédent et à leur intolérance extrême face à la diversité d'opinions.
Comme le multiculturaliste considère son idéologie parfaitement sublime, il refusera catégoriquement d'écouter les experts et de lire les études sérieuses qui démontrent clairement que, non seulement l'immigration massive n'est pas la solution à nos problèmes, mais qu'en plus elle emmène de nouveaux problèmes:
Le Québec accueille-t-il trop d'immigrants?
L'immigration N'EST PAS une solution au vieillissement de la population
La vérité à propos de l'immigration
«Le remède imaginaire: pourquoi l’immigration ne sauvera pas le Québec»
L'immigration massive entraîne des baisses de salaire
Ce refus de voir la réalité rend le multiculturaliste particulièrement dangereux lorsqu'il occupe un poste de pouvoir. Le politicien multiculturaliste, incapable de remettre en question ses propres convictions idéologiques, refuse d'entendre la voix de la raison et continue à claironner qu'il faut accueillir toujours plus d'immigrants. Il ne recule devant rien pour promouvoir son idéologie et ira jusqu'à organiser des campagnes de propagande et de désinformation financées à même les fonds publics pour l'enfoncer dans la gorge de la population. Il n'hésitera pas non plus à instrumentaliser les établissements scolaires pour endoctriner les enfants dès leur plus jeune âge:
Vaste campagne pro-immigration
L'école québécoise au service du multiculturalisme canadien
Le comble ultime, c'est lorsque les politiciens multiculturalistes osent affirmer que la SOLUTION aux attentats terroristes islamistes est... ENCORE PLUS D'IMMIGRATION!
C'est ce que Philippe Couillard a déclaré après le sanguinaire attentat de Nice en juillet 2016. Loin de remettre ses convictions idéologiques en question face à un tel carnage, Couillard a affirmé qu'une "plus grande ouverture à l'accueil des immigrants permettra de lutter contre le radicalisme qui mène à des attentats terroristes" et que la meilleure réponse face à cette attaque est "d'aller encore plus loin vers une société inclusive."
Justin Trudeau, lui, profite de l'anniversaire d'un attentat islamiste meurtrier pour chanter les louanges de la diversité.
Ultimement, pour le multiculturaliste, la "diversité" a beaucoup plus de valeur que la sécurité de ses concitoyens.
3- LES MINORITÉS SONT INTOUCHABLES
Un multiculturaliste place les minorités ethniques ou culturelles sur un piédestal. Il assigne toutes les vertus morales à ces groupes et voit systématiquement le groupe majoritaire comme étant le seul qui fasse preuve de fermeture d'esprit, d'intolérance et de racisme.
Dans ce contexte, toute critique, aussi justifiée soit-elle, d'une communauté minoritaire ou d'un de ses membres est complètement exclue. Toute critique des religions de ces minorités ou de leurs pratiques et croyances est inadmissible. Quiconque enfreint cette règle est immédiatement taxé de racisme et banni de l'espace public.
La conversation suivante que j'ai eue avec un jeune multiculturaliste en est un excellent exemple. Pour lui, toute idée qui émane de gens issus d'une minorité non-caucasienne ne peut en aucun cas être critiquée et quiconque ose le faire est automatiquement coupable de xénophobie: Sacs de patates et multiculturalisme
Ainsi, lorsqu'on informe Justin Trudeau qu'il a visité une mosquée qui a servi de point de rencontre à un réseau terroriste notoire, ce dernier refuse de condamner les gens qui ont offert une plateforme à ces fanatiques. De plus, il ne regrette absolument rien. Les regrets, c'est pour les êtres inférieurs, ce n'est pas pour le grand Justin Trudeau.
Dans la même logique, la ministre Lise Thériault, elle, déclare que les jeunes djihadistes québécois vont rejoindre les barbares sanguinaires de Daech pour... sauver des vies! Ce sont des héros! Apparemment, même les fanatiques violents qui massacrent des innocents méritent notre respect lorsqu'ils appartiennent à un "groupe minoritaire"!
Cette attitude irresponsable des multiculturalistes peut avoir des conséquences extrêmement graves.
Par exemple, à Rotherham, on en est arrivé à un point où les autorités policières ont décidé de ne pas s'attaquer à des criminels violents qui exploitaient des enfants par crainte de passer pour des racistes.
Souvenez-vous de la secte Lev Tahor! Ça s'est passé ici même, au Québec! Dans ce dossier-là aussi, les autorités policières ainsi que les services de protection de la jeunesse se sont avérés très frileux à intervenir et ils ont tardé à agir, au détriment du bien-être de nombreux enfants.
L'idéologie multiculturelle dominante fait dorénavant en sorte que le "respect" des minorités devient plus important que celui des lois ou même que la protection des enfants: La toxicité du multiculturalisme
4- TOUT EST RACISTE!
Un multiculturaliste voit du racisme partout. Toute situation qui est perçue comme "inéquitable" pour une quelconque minorité culturelle ou ethnique est immédiatement placée sur le compte du racisme de la majorité.
Les taux de chômage sont un peu plus élevés pour une minorité X? C'est à cause du racisme! Des membres d'une minorité X sont davantage arrêtés par la police? C'est à cause du racisme! Une minorité X n'est pas représentée au sein d'une grande entreprise ou d'un parti politique? C'est à cause du racisme! Un événement tout à fait anecdotique est rapporté par un membre d'une minorité? Cela devient une preuve du "racisme systémique" de la société!
Ainsi, les membres de communautés minoritaires sont éternellement perçus comme étant les victimes du racisme de la majorité.
L'idée même qu'ils puissent être en partie responsables de ces situations ou que des facteurs autres que le racisme puissent les expliquer ne leur traverse jamais l'esprit.
De plus, le simple fait d'affirmer qu'il existe effectivement des gens racistes ne suffit pas. Il faut plutôt généraliser le racisme à toute la société et à toutes ses institutions, d'où le concept de "racisme systémique" qui affirme essentiellement que TOUT est raciste. Absolument tout.
Racisme systémique au Québec?
5- MÉPRIS DE LA POPULATION LOCALE
Ironiquement, le multiculturaliste est une personne fondamentalement raciste.
Le raciste traditionnel déteste les groupes ethniques qui viennent d'ailleurs et se considère supérieur à eux. Le multiculturaliste, lui, déteste le groupe majoritaire qui a ses racines historiques ici et le considère inférieur aux groupes ethniques venus d'ailleurs.
Dans les deux cas, on est face à un mépris et/ou une haine face à tout un groupe de personnes à cause de leur identité ou de leur ethnicité. Bref, c'est du racisme à l'état pur.
Le multiculturaliste québécois célèbre l'indépendance de la Grèce, mais crache sur celle du Québec. Il est sympathique à la cause des Palestiniens mais considère celle du Québec comme dépassée, tribale et archaïque. Il adore la parade de la St-Patrick mais est mal à l'aise face à celle de la fête nationale du Québec. Il sourit en voyant des hindous se transpercer le corps de crochets à Val-Morin, mais trouve les traditions québécoises médiocres et quétaines.
Ainsi, pour le multiculturaliste, les identités et les traditions des groupes venus d'ailleurs doivent être protégées à tout prix, mais l'identité et les traditions du groupe local n'ont aucune valeur. Il lui arrive même de ne pas reconnaître que le groupe local possède une identité propre. Demandez à un multiculturaliste de vous dire ce qu'est un Québécois. Sa réponse sera si vague qu'elle pourrait essentiellement s'appliquer à n'importe quelle population occidentale. Ou encore, il tentera de le définir à coups de sondages d'opinions.
Cette haine de soi, conjuguée à une admiration béate de l'autre, donne lieu à des contradictions fondamentales. Ainsi, lorsqu'une atrocité est commise par un membre d'une minorité, le multiculturaliste s'empresse de tenter d'excuser le geste et de le dissocier de l'origine, de l'idéologie ou de la religion de l'assassin. Dans le cas d'un attentat islamiste, par exemple, il affirmera que le geste est inspiré par autre chose que la religion, que le tueur souffrait de problèmes mentaux, que l'Islam est une religion de paix, qu'il ne faut pas généraliser, etc. J'ai d'ailleurs sarcastiquement pondu un petit guide du bon multiculturaliste ici.
Toutefois, si l'atrocité est l'oeuvre d'un membre du groupe natif majoritaire, le multiculturaliste tient un discours complètement contraire et généralisera le racisme, l'intolérance et la xénophobie du tueur à toute la société. Il n'hésitera pas une seconde à faire porter le blâme de cet acte à tous ceux qui ont la même couleur de peau ou qui sont nés sur le même territoire que l'assassin. Bref, il se contredit complètement sans même s'en rendre compte.
En plus de ce profond mépris de la population locale, teinté d'élitisme, le multiculturaliste ressent également de la peur. À son avis, le "peuple" est trop stupide pour discuter ou débattre de questions liées à l'immigration. Il faut lui dire quoi penser. Autrement, ce peuple stupide et ignare pourrait devenir violent et s'en prendre aux pauvres minorités qui souffrent en son sein. Les multiculturalistes ont peur de cette majorité en qui ils voient les attributs les plus sombres et les plus inquiétants.
Un excellent exemple de cela est la réaction de Philippe Couillard suite aux attentats sanguinaires de Paris en novembre 2015. Quelques heures après le drame, le premier ministre a affirmé que ce qu'il avait vu de "pire", ce n'était pas les cadavres de Parisiens assassinés, mais une bannière qui avait été placée sur un viaduc à Québec sur laquelle quelqu'un avait écrit: "Réfugiés: Non merci!" Aux yeux d'un multiculturaliste, il s'agit là d'une offense bien pire que des cadavres encore chauds qui baignent dans leur sang.
Afin de ne pas réveiller les instincts violents de ce peuple que l'on craint, on camoufle la réalité, comme l'explique si bien Mathieu Bock-Côté: "Qui parle de radicalisation ou d’extrémisme violent sans évoquer l’islamisme est un farceur qui confesse au même moment son manque de courage. Il utilise le langage non pas pour désigner la réalité mais pour l’occulter, la dissimuler, l’embrouiller. C’est malheureusement cet esquif qu’a frappé le Sommet de Montréal sur le vivre-ensemble. Évidemment, tout le monde savait de quoi on parlait, mais il ne fallait pas le dire, de peur de tomber dans l’amalgame."
C'est pour cette raison que la police a censuré une partie du vidéo laissée par le terroriste d'Ottawa juste avant de passer à l'action. On voulait nous cacher les motivations religieuses de l'assassin. C'est pour cette même raison que certains médias français pensent à ne plus donner l’identité des terroristes qui font l’actualité. Il ne faudrait surtout pas attiser la haine de ce peuple ignare et stupide! Mieux vaut lui mentir et le gaver de propagande multiculturaliste pour le garder passif et soumis!
De plus, les Québécois multiculturalistes ont honte. Ce sentiment malsain teinte tous leurs écrits et tous leurs propos. Cette honte explose périodiquement au grand jour, comme par exemple dans cet article pitoyable de la journaliste Michèle Ouimet.
Le multiculturaliste rejette tout débat qu'il qualifie d'identitaire, c'est-à-dire tous les enjeux qui touchent de près ou de loin à la défense de l'identité, de la culture, des traditions ou de la langue de la population majoritaire locale. Il y voit quelque chose de monstrueux, de raciste et considère que ces enjeux ne devraient jamais être évoqués. Il ne faut pas parler de ces choses-là.
Michèle Ouimet parle du "baril de poudre identitaire". L’Association facultaire étudiante des sciences humaines de l’UQAM décrit le débat identitaire comme un exercice de haine, de colonialisme, de racisme et de xénophobie.
Les politiciens multiculturalistes sont extrêmement dangereux car ils refusent de constater l'inéluctable déclin des francophones d'Amérique et ne font absolument rien pour l'endiguer ou le prévenir, ni même pour le dénoncer:
L'inéluctable déclin se poursuit...
Le déclin du français
6- MÉPRIS DE L'OCCIDENT
Le multiculturaliste n'éprouve pas que du mépris pour la population locale, il étend son mépris à tout l'Occident et le tient responsable de tous les maux de la planète, passés et présents, réels ou imaginaires.
Ainsi, la violence des islamistes ne serait pas la faute des islamistes. Non! C'est plutôt la faute du colonialisme et de l'impérialisme de l'Occident. Et si nous sommes victimes d'attentats terroristes, ben c'est qu'au fond, nous l'avons bien cherché: Santé mentale et colonialisme
Pour des gens comme la journaliste Michèle Ouimet, l'Occident est condamné à être perpétuellement le Gros Méchant. Si l'Occident n'intervient pas au Moyen-Orient, il croise lâchement les bras. Si l'Occident intervient au Moyen-Orient, il est violent et impérialiste. En bout de ligne, pour les zigotos multiculturalistes, l'Occident est le mal incarné. L'Occident mérite les attentats islamistes qui le prennent comme cible. Il mérite ces tueries. Il mérite cette haine. Il mérite que ses citoyens soient massacrés sous les balles ou sous les roues de camions.
Après les attentats de Paris en juillet 2016, il s'en est trouvé pour affirmer que la France était à blâmer! Si la France n'était pas laïque "pure et dure", si elle n'était pas impliquée dans le combat contre Daech, si elle n'avait pas interdit le voile dans ses écoles, si elle ne discriminait pas ses minorités, si elle n'avait pas ratifié le traité de Sèvres en 1920, alors elle ne serait pas une cible! Tout est de sa faute!
Pour le multiculturaliste, les péchés de l'Occident sont héréditaires. Les gens à peau blanche qui vivent actuellement sont responsables des toutes les atrocités, réelles ou imaginaires, perpétrés par des gens à peau blanche au cour des derniers siècles.
L'exemple le plus aberrant que j'ai vu récemment est celui de Valérie Plante, la nouvelle cheffe de Projet Montréal, qui a avoué ressentir du "white guilt" (la culpabilité d'être Blanc) et qui a participé au "Jeu des privilèges", une espèce de rituel déjanté pendant lequel une personne blanche est appelée à s'auto-flageller et à demander pardon pour les crime perpétrés pendant des siècles par l'oppressante et cruelle race blanche... du délire total.
Les gens qui n'ont pas la peau blanche ou qui ne proviennent pas d'Occident, eux, sont nobles et admirables. Leur histoire est dépourvue d'atrocités et leur culture est en tout point supérieure à la nôtre. Ils sont vertueux et merveilleux. Nous avons tant à apprendre d'eux, mais ils n'ont rien à apprendre de nous. Leur simple présence rend notre société meilleure! Lorsqu'ils viennent vivre ici, il faut tout faire pour les accommoder. Refuser de le faire tiendrait du racisme et de la xénophobie!
Mathieu Bock-Côté l'exprime mieux que tout autre: "(...) le multiculturalisme (est) une pensée qui postule, en gros, que l’Occident serait coupable d’avoir écrasé les groupes minoritaires (ethniques, sexuels, sociaux, etc.) et que la justice nous impose, désormais, de déconstruire cette domination pour contribuer à l’avènement d’un monde enfin libre. (...) ce multiculturalisme se présente comme l’incarnation du progrès et s’impose comme la trame des sociétés occidentales. L’histoire, au lieu d’être une école de patriotisme, de mémoire ou de gratitude, est mise en procès. On criminalise le passé en accusant nos ancêtres d’avoir péché contre la diversité. (...) Toute une sociologie, dans la même logique, s’emploie à rejeter la pertinence «d’une culture commune nouée dans une histoire» et prône «l’inversion du devoir d’intégration», en faisant de la société majoritaire la responsable de toutes les exclusions."
Le multiculturaliste n'hésitera jamais à critiquer la religion locale, mais considère que celles des groupes minoritaires sont intouchables. Aucune observation critique n'est permise, aucune remise en question de ses affirmations n'est acceptable.
En fait, le multiculturaliste confond culture et religion.
Il est vrai que les gens qui viennent d'ailleurs apportent avec eux une culture qui est très exotique aux yeux des locaux. Leur nourriture est différente de la nôtre, leur musique l'est aussi, tout comme certaines de leurs traditions. Et il est vrai que ces expressions culturelles viennent parfois enrichir la culture locale.
Mais la religion n'est pas qu'une simple expression culturelle comme les autres.
La religion fait des affirmations à propos de la réalité qui peuvent être factuellement contredites. Non, les miracles n'existent pas et ne se produisent jamais. Non, des éléments surnaturels ne sont pas nécessaires pour expliquer le monde qui nous entoure. Non, absolument aucune preuve objective ne vient appuyer la thèse de l'existence de divinités invisibles qui dictent leur conduite aux humains, qui leur disent comment s'habiller, quoi bouffer ou encore qui baiser. Non, les textes sacrés ne sont pas d'origine divine et de nombreux passages contradictoires, imparfaits ou immoraux en attestent.
On a le droit de dire cela et il est primordial de le faire.
Ce n'est pas une forme d'intolérance ou de xénophobie de critiquer des idées! De plus, si on veut être raisonnable et objectif, elles doivent être jugées selon leur valeur intrinsèque, sans la moindre considération pour la région géographique d'où elles originent!
Comme l'écrit si bien Christian Rioux dans cet article: "Dans nos pays, le seul fait d’évoquer un «problème musulman» et la montée de l’intégrisme vaut aujourd’hui des procès en sorcellerie à des intellectuels comme Michel Houellebecq, Georges Bensoussan, Jeannette Bougrab, Djemila Benhabib et Pascal Bruckner lui-même. Sans oublier les dessinateurs de Charlie Hebdo. (...) «L’intégrisme a parfaitement compris la culpabilisation occidentale dont il use et abuse», écrit l’auteur du Sanglot de l’homme blanc (Seuil), qui souligne aussi l’étrange alliance qui unit aujourd’hui une partie de la gauche à certains islamistes."
Bien sûr, il faut respecter la liberté de conscience de chacun. Le citoyen d'un état libre a le droit de croire ce qu'il veut, de prier à qui il veut et de célébrer une foi comme il le veut.
Mais les multiculturalistes vont trop loin. Car dans une société libre, le citoyen a également le droit de critiquer, de démentir ou de ridiculiser les croyances de l'autre. Rien ne devrait l'en empêcher et il ne devrait certainement pas être la cible de menaces parce qu'il le fait. Le blasphème ne doit jamais être criminalisé.
Les idées n'ont pas à être protégées. Le fait qu'une idée provienne de la religion d'une quelconque minorité ne la rend pas intouchable. Et le fait de critiquer une idée n'a rien d'intrinsèquement xénophobe, de raciste ou d'intolérant.
Le problème avec la tolérance religieuse des multiculturalistes, c'est qu'au nom du respect et de l'ouverture, elle impose ultimement la censure. Et, malheureusement, dans ce combat, les multiculturalistes deviennent les ennemis du progrès et de la rigueur scientifique et intellectuelle. En voici un parfait exemple.
En bout de ligne, les gens qu'on punit le plus en interdisant toute critique des religions, ce sont les croyants eux-mêmes et plus précisément, les gens qui sont endoctrinés et prisonniers de ces idéologies qui régissent tous le aspects de leur existence:
Ayaan Hirsi Ali dénonce le multiculturalisme: «Le multiculturalisme trahit les femmes et les enfants (...) Un multiculturalisme descriptif dans lequel chacun mange ce qu'il veut, se marie avec qui il veut, décore sa maison comme il veut est bénin. Là où il y a un problème, c'est avec le multiculturalisme dans lequel des minorités sont exemptées des obligations que tous les autres ont. Quand ils ont des droits spéciaux que personne d'autre n'a.»
La gauche est l'ennemie de la réforme de l'Islam: Les réformateurs et les musulmans modérés qui ont le courage de jeter un regard critique sur leur propre religion sont le meilleur espoir de voir un jour cesser la montée du fanatisme et de la violence terroriste. Malheureusement, au lieu de les soutenir et de les applaudir, les multiculturalistes préfèrent les insulter et les traiter d'islamophobes.
8- LA MAJORITÉ DOIT S'ADAPTER À LA MINORITÉ
Le multiculturaliste ne souhaite pas que le nouvel arrivant s'adapte aux moeurs du pays d'accueil. Au contraire, il considère que c'est à la majorité de modifier ses pratiques, ses traditions et ses lois pour accommoder les nouveaux arrivants.
Un institut pour "ouvrir l’Islam aux Montréalais"? On a ici la "logique" multiculturelle poussée à son ultime limite. Ce n'est plus la population d'accueil qui offre des formations à ses nouveaux arrivants afin de les éduquer à propos du pays où ils viennent vivre et leur permettre de s'intégrer! Non! Ce sont les minorités qui ouvrent des "instituts" pour endoctriner, recruter et embrigader le peuple d'accueil.
Lors de la visite du président de l'Iran en Italie, les statues antiques dénudées du musée du Capitole de Rome ont été masquées pour éviter de "froisser la sensibilité de l'Iran".
9- RELATIVISME À OUTRANCE
Derrière l'apparente tolérance du multiculturaliste se cache un relativisme total des valeurs les plus fondamentales. Pour le multiculturaliste, c'est un péché impardonnable d'affirmer que les valeurs de l'Occident sont supérieures, même lorsque cela est clairement le cas.
Pour lui, tout s'équivaut. La burqa est un choix personnel, comme le bikini. Pour Philippe Couillard, l’intégrisme «fait partie des choix personnels de chacun».
Après tout, qui sommes-nous pour juger?
La démocratie est-elle vraiment mieux que la théocratie? La liberté est-elle vraiment meilleures que l'oppression? La science est-elle vraiment meilleure que la religion? Les régimes de l'Arabie saoudite et d'Iran sont-ils si terribles? Qui sommes-nous pour juger?
Comme l'écrivait Yves Boisvert: "Il faut vraiment que ce pays soit malade pour se demander sérieusement si l'on peut voter le visage voilé, témoigner avec un masque, prêter serment le visage couvert ou épouser cinq femmes. Le Canada souffre du complexe de l'ouverture multiculturelle. Les symptômes sont nombreux. (...) Est-on à ce point égaré dans le labyrinthe des droits? N'est-on pas capable de différencier un accommodement et une perversion des principes?"
10- REGARDEZ COMME JE SUIS VERTUEUX!
Ce qui intéresse surtout le multiculturaliste, au fond, c'est de polir son image. Décrire ou comprendre la réalité n'a pas d'importance à ses yeux, c'est essentiellement son image qui le préoccupe. Il veut être admiré et paraître vertueux. Cela est particulièrement vrai des politiciens et des personnalités publiques.
Ce qu'il veut dire, c'est: "Regardez comme je suis vertueux! Regardez comme je suis une bonne personne! Regardez comme je ne suis pas raciste comme les autres Blancs!" C'est essentiellement aussi bête que ça.
Et ça marche. C'est suite à sa profession de foi multiculturaliste que l'humoriste Louis T a vu sa carrière décoller et son vidéo faire le tour des médias sociaux.
Il y a d'ailleurs une profonde dichotomie entre les exclamations vertueuses du multiculturaliste et les gestes concrets qu'il pose dans la vie. Il est facile de faire la promotion de sa propre vertu sur tous les toits et de faire la morale à tout le monde, ce ne sont que des mots après tout. Mais lorsque vient le temps de passer aux actes, c'est là qu'apparaît la superficialité de l'exercice. Plusieurs n'ont pas manqué de le souligner dans le cas de l'auteure milliardaire J.K. Rowling. Cette dernière dénonçait les politiciens britanniques qui hésitaient à ouvrir les frontières toutes grandes aux soi-disant réfugiés. Toutefois, lorsque des gens l'ont invité à mettre l'un de ses nombreux manoirs à la disposition de ces mêmes réfugiés, offrant même de payer pour leur déplacement, elle est demeurée étrangement silencieuse.
Il faut arrêter de récompenser ces gens avec notre respect et notre admiration. Ils ne la méritent pas.
Les multiculturalistes doivent être démasqués et vus pour ce qu'ils sont: des vaniteux obsédés par leur image.
Des idéologues fanatiques qui sont incapables de défendre leurs idées sans avoir recours à des insultes gratuites ou à la censure.
Des racistes qui n'éprouvent que du mépris pour les populations occidentales.
Des gens dangereux qui font passer leurs fantasmes puériles devant des impératifs tels que la défense des valeurs occidentales ou la protection des populations locales.
Évidemment que l'ouverture, le respect et la diversité sont des valeurs positives, mais le multiculturaliste les élève au niveau de dogme absolutiste et va beaucoup trop loin. Sa pensée manichéenne manque cruellement de nuance et de sophistication, ce qui mène aux pires dérapages et les conséquences en sont potentiellement désastreuses.
C'est ce que Philippe Couillard a déclaré après le sanguinaire attentat de Nice en juillet 2016. Loin de remettre ses convictions idéologiques en question face à un tel carnage, Couillard a affirmé qu'une "plus grande ouverture à l'accueil des immigrants permettra de lutter contre le radicalisme qui mène à des attentats terroristes" et que la meilleure réponse face à cette attaque est "d'aller encore plus loin vers une société inclusive."
Justin Trudeau, lui, profite de l'anniversaire d'un attentat islamiste meurtrier pour chanter les louanges de la diversité.
Ultimement, pour le multiculturaliste, la "diversité" a beaucoup plus de valeur que la sécurité de ses concitoyens.
3- LES MINORITÉS SONT INTOUCHABLES
Un multiculturaliste place les minorités ethniques ou culturelles sur un piédestal. Il assigne toutes les vertus morales à ces groupes et voit systématiquement le groupe majoritaire comme étant le seul qui fasse preuve de fermeture d'esprit, d'intolérance et de racisme.
Dans ce contexte, toute critique, aussi justifiée soit-elle, d'une communauté minoritaire ou d'un de ses membres est complètement exclue. Toute critique des religions de ces minorités ou de leurs pratiques et croyances est inadmissible. Quiconque enfreint cette règle est immédiatement taxé de racisme et banni de l'espace public.
La conversation suivante que j'ai eue avec un jeune multiculturaliste en est un excellent exemple. Pour lui, toute idée qui émane de gens issus d'une minorité non-caucasienne ne peut en aucun cas être critiquée et quiconque ose le faire est automatiquement coupable de xénophobie: Sacs de patates et multiculturalisme
Ainsi, lorsqu'on informe Justin Trudeau qu'il a visité une mosquée qui a servi de point de rencontre à un réseau terroriste notoire, ce dernier refuse de condamner les gens qui ont offert une plateforme à ces fanatiques. De plus, il ne regrette absolument rien. Les regrets, c'est pour les êtres inférieurs, ce n'est pas pour le grand Justin Trudeau.
Dans la même logique, la ministre Lise Thériault, elle, déclare que les jeunes djihadistes québécois vont rejoindre les barbares sanguinaires de Daech pour... sauver des vies! Ce sont des héros! Apparemment, même les fanatiques violents qui massacrent des innocents méritent notre respect lorsqu'ils appartiennent à un "groupe minoritaire"!
Cette attitude irresponsable des multiculturalistes peut avoir des conséquences extrêmement graves.
Par exemple, à Rotherham, on en est arrivé à un point où les autorités policières ont décidé de ne pas s'attaquer à des criminels violents qui exploitaient des enfants par crainte de passer pour des racistes.
Souvenez-vous de la secte Lev Tahor! Ça s'est passé ici même, au Québec! Dans ce dossier-là aussi, les autorités policières ainsi que les services de protection de la jeunesse se sont avérés très frileux à intervenir et ils ont tardé à agir, au détriment du bien-être de nombreux enfants.
C'est le même aveuglement idéologique qui amène Denis Coderre, le maire de Montréal, à déclarer que Montréal est une "ville sanctuaire", c'est-à-dire qu'il refuse de remettre les immigrants ILLÉGAUX aux autorités fédérales! Il refuse d'appliquer les lois d'immigration en vigueur: Coderre le gros matamore
4- TOUT EST RACISTE!
Un multiculturaliste voit du racisme partout. Toute situation qui est perçue comme "inéquitable" pour une quelconque minorité culturelle ou ethnique est immédiatement placée sur le compte du racisme de la majorité.
Les taux de chômage sont un peu plus élevés pour une minorité X? C'est à cause du racisme! Des membres d'une minorité X sont davantage arrêtés par la police? C'est à cause du racisme! Une minorité X n'est pas représentée au sein d'une grande entreprise ou d'un parti politique? C'est à cause du racisme! Un événement tout à fait anecdotique est rapporté par un membre d'une minorité? Cela devient une preuve du "racisme systémique" de la société!
Ainsi, les membres de communautés minoritaires sont éternellement perçus comme étant les victimes du racisme de la majorité.
L'idée même qu'ils puissent être en partie responsables de ces situations ou que des facteurs autres que le racisme puissent les expliquer ne leur traverse jamais l'esprit.
De plus, le simple fait d'affirmer qu'il existe effectivement des gens racistes ne suffit pas. Il faut plutôt généraliser le racisme à toute la société et à toutes ses institutions, d'où le concept de "racisme systémique" qui affirme essentiellement que TOUT est raciste. Absolument tout.
Racisme systémique au Québec?
Ironiquement, le multiculturaliste est une personne fondamentalement raciste.
Le raciste traditionnel déteste les groupes ethniques qui viennent d'ailleurs et se considère supérieur à eux. Le multiculturaliste, lui, déteste le groupe majoritaire qui a ses racines historiques ici et le considère inférieur aux groupes ethniques venus d'ailleurs.
Dans les deux cas, on est face à un mépris et/ou une haine face à tout un groupe de personnes à cause de leur identité ou de leur ethnicité. Bref, c'est du racisme à l'état pur.
Le multiculturaliste québécois célèbre l'indépendance de la Grèce, mais crache sur celle du Québec. Il est sympathique à la cause des Palestiniens mais considère celle du Québec comme dépassée, tribale et archaïque. Il adore la parade de la St-Patrick mais est mal à l'aise face à celle de la fête nationale du Québec. Il sourit en voyant des hindous se transpercer le corps de crochets à Val-Morin, mais trouve les traditions québécoises médiocres et quétaines.
Ainsi, pour le multiculturaliste, les identités et les traditions des groupes venus d'ailleurs doivent être protégées à tout prix, mais l'identité et les traditions du groupe local n'ont aucune valeur. Il lui arrive même de ne pas reconnaître que le groupe local possède une identité propre. Demandez à un multiculturaliste de vous dire ce qu'est un Québécois. Sa réponse sera si vague qu'elle pourrait essentiellement s'appliquer à n'importe quelle population occidentale. Ou encore, il tentera de le définir à coups de sondages d'opinions.
Cette haine de soi, conjuguée à une admiration béate de l'autre, donne lieu à des contradictions fondamentales. Ainsi, lorsqu'une atrocité est commise par un membre d'une minorité, le multiculturaliste s'empresse de tenter d'excuser le geste et de le dissocier de l'origine, de l'idéologie ou de la religion de l'assassin. Dans le cas d'un attentat islamiste, par exemple, il affirmera que le geste est inspiré par autre chose que la religion, que le tueur souffrait de problèmes mentaux, que l'Islam est une religion de paix, qu'il ne faut pas généraliser, etc. J'ai d'ailleurs sarcastiquement pondu un petit guide du bon multiculturaliste ici.
Toutefois, si l'atrocité est l'oeuvre d'un membre du groupe natif majoritaire, le multiculturaliste tient un discours complètement contraire et généralisera le racisme, l'intolérance et la xénophobie du tueur à toute la société. Il n'hésitera pas une seconde à faire porter le blâme de cet acte à tous ceux qui ont la même couleur de peau ou qui sont nés sur le même territoire que l'assassin. Bref, il se contredit complètement sans même s'en rendre compte.
Un excellent exemple de cela est la réaction de Philippe Couillard suite aux attentats sanguinaires de Paris en novembre 2015. Quelques heures après le drame, le premier ministre a affirmé que ce qu'il avait vu de "pire", ce n'était pas les cadavres de Parisiens assassinés, mais une bannière qui avait été placée sur un viaduc à Québec sur laquelle quelqu'un avait écrit: "Réfugiés: Non merci!" Aux yeux d'un multiculturaliste, il s'agit là d'une offense bien pire que des cadavres encore chauds qui baignent dans leur sang.
Afin de ne pas réveiller les instincts violents de ce peuple que l'on craint, on camoufle la réalité, comme l'explique si bien Mathieu Bock-Côté: "Qui parle de radicalisation ou d’extrémisme violent sans évoquer l’islamisme est un farceur qui confesse au même moment son manque de courage. Il utilise le langage non pas pour désigner la réalité mais pour l’occulter, la dissimuler, l’embrouiller. C’est malheureusement cet esquif qu’a frappé le Sommet de Montréal sur le vivre-ensemble. Évidemment, tout le monde savait de quoi on parlait, mais il ne fallait pas le dire, de peur de tomber dans l’amalgame."
C'est pour cette raison que la police a censuré une partie du vidéo laissée par le terroriste d'Ottawa juste avant de passer à l'action. On voulait nous cacher les motivations religieuses de l'assassin. C'est pour cette même raison que certains médias français pensent à ne plus donner l’identité des terroristes qui font l’actualité. Il ne faudrait surtout pas attiser la haine de ce peuple ignare et stupide! Mieux vaut lui mentir et le gaver de propagande multiculturaliste pour le garder passif et soumis!
Le multiculturaliste rejette tout débat qu'il qualifie d'identitaire, c'est-à-dire tous les enjeux qui touchent de près ou de loin à la défense de l'identité, de la culture, des traditions ou de la langue de la population majoritaire locale. Il y voit quelque chose de monstrueux, de raciste et considère que ces enjeux ne devraient jamais être évoqués. Il ne faut pas parler de ces choses-là.
Michèle Ouimet parle du "baril de poudre identitaire". L’Association facultaire étudiante des sciences humaines de l’UQAM décrit le débat identitaire comme un exercice de haine, de colonialisme, de racisme et de xénophobie.
L'inéluctable déclin se poursuit...
Le déclin du français
Comme l'a si bien écrit Djemila Benhabib: Le multiculturalisme est "un suicide collectif". Rien de moins.
6- MÉPRIS DE L'OCCIDENT
Le multiculturaliste n'éprouve pas que du mépris pour la population locale, il étend son mépris à tout l'Occident et le tient responsable de tous les maux de la planète, passés et présents, réels ou imaginaires.
Ainsi, la violence des islamistes ne serait pas la faute des islamistes. Non! C'est plutôt la faute du colonialisme et de l'impérialisme de l'Occident. Et si nous sommes victimes d'attentats terroristes, ben c'est qu'au fond, nous l'avons bien cherché: Santé mentale et colonialisme
Après les attentats de Paris en juillet 2016, il s'en est trouvé pour affirmer que la France était à blâmer! Si la France n'était pas laïque "pure et dure", si elle n'était pas impliquée dans le combat contre Daech, si elle n'avait pas interdit le voile dans ses écoles, si elle ne discriminait pas ses minorités, si elle n'avait pas ratifié le traité de Sèvres en 1920, alors elle ne serait pas une cible! Tout est de sa faute!
Après le massacre des dessinateurs de Charlie Hebdo, on est allé jusqu'à blâmer les victimes: Une leader musulmane montréalaise accuse la rédaction de Charlie Hebdo d’avoir alimenté la violence qui a conduit à l’attentat contre elle. «L’islam n’est pas une menace. Ce qui est une menace, c’est que des organisations comme Charlie Hebdo fomentent elles-mêmes la division et l’intolérance», lance Geneviève Lepage, porte-parole de l’Association musulmane québécoise.
La couardise des médias multiculturalistes canadiens-anglais suite à l'attentat de Charlie Hebdo est aveuglante. En effet, une bonne partie de la presse canadienne-anglaise a snobé les images du prophète tel qu’imaginé par les plumes de Charlie Hebdo. Pas essentiel à l’histoire, a dit l’un, pas respectueux des musulmans, a dit l’autre. Problème technique, assure un troisième.
Comme l'écrivait Élisabeth Badinter suite au massacre de Charlie Hebdo: «À l’époque, j’avais été terriblement frappée d’entendre autant d’hommes politiques condamner Charlie Hebdo, dit-elle. À gauche comme à droite, on traitait les caricaturistes d’irresponsables. Moi, en toute naïveté, vivant dans ma bulle du XVIIIe siècle avec Voltaire, je me suis dit que les politiques étaient devenus fous. C’est là que j’ai compris qu’on était vraiment seuls.» Sitôt terminée la gigantesque manifestation du 11 janvier, en France comme au Québec, les mêmes murmures se sont remis à monter. La liberté d’expression n’avait-elle pas des limites? Et Charlie n’avait-il pas exagéré? «C’est là que je me suis dit qu’on n’avait vraiment rien compris, dit la philosophe. Car, dans une société démocratique et républicaine, on a le droit de blasphémer.»
L'exemple le plus aberrant que j'ai vu récemment est celui de Valérie Plante, la nouvelle cheffe de Projet Montréal, qui a avoué ressentir du "white guilt" (la culpabilité d'être Blanc) et qui a participé au "Jeu des privilèges", une espèce de rituel déjanté pendant lequel une personne blanche est appelée à s'auto-flageller et à demander pardon pour les crime perpétrés pendant des siècles par l'oppressante et cruelle race blanche... du délire total.
Les gens qui n'ont pas la peau blanche ou qui ne proviennent pas d'Occident, eux, sont nobles et admirables. Leur histoire est dépourvue d'atrocités et leur culture est en tout point supérieure à la nôtre. Ils sont vertueux et merveilleux. Nous avons tant à apprendre d'eux, mais ils n'ont rien à apprendre de nous. Leur simple présence rend notre société meilleure! Lorsqu'ils viennent vivre ici, il faut tout faire pour les accommoder. Refuser de le faire tiendrait du racisme et de la xénophobie!
Mathieu Bock-Côté l'exprime mieux que tout autre: "(...) le multiculturalisme (est) une pensée qui postule, en gros, que l’Occident serait coupable d’avoir écrasé les groupes minoritaires (ethniques, sexuels, sociaux, etc.) et que la justice nous impose, désormais, de déconstruire cette domination pour contribuer à l’avènement d’un monde enfin libre. (...) ce multiculturalisme se présente comme l’incarnation du progrès et s’impose comme la trame des sociétés occidentales. L’histoire, au lieu d’être une école de patriotisme, de mémoire ou de gratitude, est mise en procès. On criminalise le passé en accusant nos ancêtres d’avoir péché contre la diversité. (...) Toute une sociologie, dans la même logique, s’emploie à rejeter la pertinence «d’une culture commune nouée dans une histoire» et prône «l’inversion du devoir d’intégration», en faisant de la société majoritaire la responsable de toutes les exclusions."
7- CONFUSION ENTRE CULTURE ET RELIGION
Le multiculturaliste n'hésitera jamais à critiquer la religion locale, mais considère que celles des groupes minoritaires sont intouchables. Aucune observation critique n'est permise, aucune remise en question de ses affirmations n'est acceptable.
En fait, le multiculturaliste confond culture et religion.
Il est vrai que les gens qui viennent d'ailleurs apportent avec eux une culture qui est très exotique aux yeux des locaux. Leur nourriture est différente de la nôtre, leur musique l'est aussi, tout comme certaines de leurs traditions. Et il est vrai que ces expressions culturelles viennent parfois enrichir la culture locale.
Mais la religion n'est pas qu'une simple expression culturelle comme les autres.
La religion fait des affirmations à propos de la réalité qui peuvent être factuellement contredites. Non, les miracles n'existent pas et ne se produisent jamais. Non, des éléments surnaturels ne sont pas nécessaires pour expliquer le monde qui nous entoure. Non, absolument aucune preuve objective ne vient appuyer la thèse de l'existence de divinités invisibles qui dictent leur conduite aux humains, qui leur disent comment s'habiller, quoi bouffer ou encore qui baiser. Non, les textes sacrés ne sont pas d'origine divine et de nombreux passages contradictoires, imparfaits ou immoraux en attestent.
On a le droit de dire cela et il est primordial de le faire.
Ce n'est pas une forme d'intolérance ou de xénophobie de critiquer des idées! De plus, si on veut être raisonnable et objectif, elles doivent être jugées selon leur valeur intrinsèque, sans la moindre considération pour la région géographique d'où elles originent!
Comme l'écrit si bien Christian Rioux dans cet article: "Dans nos pays, le seul fait d’évoquer un «problème musulman» et la montée de l’intégrisme vaut aujourd’hui des procès en sorcellerie à des intellectuels comme Michel Houellebecq, Georges Bensoussan, Jeannette Bougrab, Djemila Benhabib et Pascal Bruckner lui-même. Sans oublier les dessinateurs de Charlie Hebdo. (...) «L’intégrisme a parfaitement compris la culpabilisation occidentale dont il use et abuse», écrit l’auteur du Sanglot de l’homme blanc (Seuil), qui souligne aussi l’étrange alliance qui unit aujourd’hui une partie de la gauche à certains islamistes."
Bien sûr, il faut respecter la liberté de conscience de chacun. Le citoyen d'un état libre a le droit de croire ce qu'il veut, de prier à qui il veut et de célébrer une foi comme il le veut.
Mais les multiculturalistes vont trop loin. Car dans une société libre, le citoyen a également le droit de critiquer, de démentir ou de ridiculiser les croyances de l'autre. Rien ne devrait l'en empêcher et il ne devrait certainement pas être la cible de menaces parce qu'il le fait. Le blasphème ne doit jamais être criminalisé.
Les idées n'ont pas à être protégées. Le fait qu'une idée provienne de la religion d'une quelconque minorité ne la rend pas intouchable. Et le fait de critiquer une idée n'a rien d'intrinsèquement xénophobe, de raciste ou d'intolérant.
Le problème avec la tolérance religieuse des multiculturalistes, c'est qu'au nom du respect et de l'ouverture, elle impose ultimement la censure. Et, malheureusement, dans ce combat, les multiculturalistes deviennent les ennemis du progrès et de la rigueur scientifique et intellectuelle. En voici un parfait exemple.
Ayaan Hirsi Ali dénonce le multiculturalisme: «Le multiculturalisme trahit les femmes et les enfants (...) Un multiculturalisme descriptif dans lequel chacun mange ce qu'il veut, se marie avec qui il veut, décore sa maison comme il veut est bénin. Là où il y a un problème, c'est avec le multiculturalisme dans lequel des minorités sont exemptées des obligations que tous les autres ont. Quand ils ont des droits spéciaux que personne d'autre n'a.»
Les musulmans les plus vulnérables ne sont pas les intégristes, ce sont ceux qui souhaitent critiquer leur coreligionnaire et réformer leur religion. Ce sont eux qui ont besoin de notre soutien!
8- LA MAJORITÉ DOIT S'ADAPTER À LA MINORITÉ
Le multiculturaliste ne souhaite pas que le nouvel arrivant s'adapte aux moeurs du pays d'accueil. Au contraire, il considère que c'est à la majorité de modifier ses pratiques, ses traditions et ses lois pour accommoder les nouveaux arrivants.
Un institut pour "ouvrir l’Islam aux Montréalais"? On a ici la "logique" multiculturelle poussée à son ultime limite. Ce n'est plus la population d'accueil qui offre des formations à ses nouveaux arrivants afin de les éduquer à propos du pays où ils viennent vivre et leur permettre de s'intégrer! Non! Ce sont les minorités qui ouvrent des "instituts" pour endoctriner, recruter et embrigader le peuple d'accueil.
Lors de la visite d'un calife à Ottawa, une séance de prière musulmane est organisée au beau milieu du Parlement canadien et des députées fédérales non musulmanes se sont voilées.
Lors de la visite du président de l'Iran en Italie, les statues antiques dénudées du musée du Capitole de Rome ont été masquées pour éviter de "froisser la sensibilité de l'Iran".
Justin Trudeau et Thomas Mulcair se rangent derrière un jugement de la Cour fédérale autorisant le port du niqab pendant la prestation du serment de citoyenneté canadienne.
En mars 2006, la Cour suprême du Canada a forcé une commission scolaire montréalaise à renverser sa précédente décision et à permettre le port du kirpan, le couteau sikh, dans les établissements scolaires du Québec. D'autres détails ici.
La totalité des poulets Olymel provenant de Saint-Damase sont abattus selon les rites musulmans. L’Association des viandes halal, qui octroie les certificats d’authenticité, exige que des employés de religion musulmane participent tous les jours aux opérations d’abattage. Trois inspecteurs musulmans s'affairent même à visiter les installations à l'improviste pour surveiller que tout le processus soit respecté, des conditions acceptées par les abattoirs qui signent le contrat.
9- RELATIVISME À OUTRANCE
Derrière l'apparente tolérance du multiculturaliste se cache un relativisme total des valeurs les plus fondamentales. Pour le multiculturaliste, c'est un péché impardonnable d'affirmer que les valeurs de l'Occident sont supérieures, même lorsque cela est clairement le cas.
Pour lui, tout s'équivaut. La burqa est un choix personnel, comme le bikini. Pour Philippe Couillard, l’intégrisme «fait partie des choix personnels de chacun».
Après tout, qui sommes-nous pour juger?
La démocratie est-elle vraiment mieux que la théocratie? La liberté est-elle vraiment meilleures que l'oppression? La science est-elle vraiment meilleure que la religion? Les régimes de l'Arabie saoudite et d'Iran sont-ils si terribles? Qui sommes-nous pour juger?
Comme l'écrivait Yves Boisvert: "Il faut vraiment que ce pays soit malade pour se demander sérieusement si l'on peut voter le visage voilé, témoigner avec un masque, prêter serment le visage couvert ou épouser cinq femmes. Le Canada souffre du complexe de l'ouverture multiculturelle. Les symptômes sont nombreux. (...) Est-on à ce point égaré dans le labyrinthe des droits? N'est-on pas capable de différencier un accommodement et une perversion des principes?"
Réponse: Pas quand on est un multiculturaliste.
10- REGARDEZ COMME JE SUIS VERTUEUX!
Ce qui intéresse surtout le multiculturaliste, au fond, c'est de polir son image. Décrire ou comprendre la réalité n'a pas d'importance à ses yeux, c'est essentiellement son image qui le préoccupe. Il veut être admiré et paraître vertueux. Cela est particulièrement vrai des politiciens et des personnalités publiques.
Ce qu'il veut dire, c'est: "Regardez comme je suis vertueux! Regardez comme je suis une bonne personne! Regardez comme je ne suis pas raciste comme les autres Blancs!" C'est essentiellement aussi bête que ça.
Et ça marche. C'est suite à sa profession de foi multiculturaliste que l'humoriste Louis T a vu sa carrière décoller et son vidéo faire le tour des médias sociaux.
Il y a d'ailleurs une profonde dichotomie entre les exclamations vertueuses du multiculturaliste et les gestes concrets qu'il pose dans la vie. Il est facile de faire la promotion de sa propre vertu sur tous les toits et de faire la morale à tout le monde, ce ne sont que des mots après tout. Mais lorsque vient le temps de passer aux actes, c'est là qu'apparaît la superficialité de l'exercice. Plusieurs n'ont pas manqué de le souligner dans le cas de l'auteure milliardaire J.K. Rowling. Cette dernière dénonçait les politiciens britanniques qui hésitaient à ouvrir les frontières toutes grandes aux soi-disant réfugiés. Toutefois, lorsque des gens l'ont invité à mettre l'un de ses nombreux manoirs à la disposition de ces mêmes réfugiés, offrant même de payer pour leur déplacement, elle est demeurée étrangement silencieuse.
Les multiculturalistes doivent être démasqués et vus pour ce qu'ils sont: des vaniteux obsédés par leur image.
Des idéologues fanatiques qui sont incapables de défendre leurs idées sans avoir recours à des insultes gratuites ou à la censure.
Des racistes qui n'éprouvent que du mépris pour les populations occidentales.
Des gens dangereux qui font passer leurs fantasmes puériles devant des impératifs tels que la défense des valeurs occidentales ou la protection des populations locales.
Évidemment que l'ouverture, le respect et la diversité sont des valeurs positives, mais le multiculturaliste les élève au niveau de dogme absolutiste et va beaucoup trop loin. Sa pensée manichéenne manque cruellement de nuance et de sophistication, ce qui mène aux pires dérapages et les conséquences en sont potentiellement désastreuses.
La raison doit toujours primer sur l'émotion.