Voici le plus bel exemple du pouvoir démesuré des féministes que j'ai vu depuis un bon bout de temps.
Cela fait des années que des gens se plaignent du cours d'éthique et culture religieuse. Votre humble serviteur l'a fait dès le début et, par la suite, de nombreux intellectuels l'ont vertement critiqué. Des universitaires l'ont même dénoncé dans des études et des journalistes en ont fait des articles dévastateurs.
Rien de tout cela n'a importuné le gouvernement libéral. Même pas un p'tit peu.
Jusqu'à ce que les féministes se décident (enfin) à le dénoncer:
Québec révise le cours d'éthique et de culture religieuse, offert depuis 2008 au primaire et au secondaire. (...) Dans un avis rendu public mercredi, le Conseil du statut de la femme (CSF) estime qu'il «ne remet pas en question les pratiques sexistes existant au sein des religions» et soutient que «le traitement conjugué de l'éthique et de la culture religieuse peut entraîner des confusions en incitant à considérer les doctrines religieuses comme des réponses valides aux enjeux éthiques actuels».
Vous êtes en retard à la fête, Mesdames, mais vaut mieux tard que jamais! Et après ça, elles ont le culot d'affirmer, à chaque élection, que les politiciens les ignorent.
Cela étant dit, elles ont raison (pour une fois) d'affirmer que les pratiques religieuses sexistes méritent d'être remises en question, mais cela n'est pas le seul problème avec ce cours. Il est malheureux que ces dames ne s'insurgent pas contre les autres pratiques religieuses détestables.
Comme par exemple les attaques répétées des groupes religieux contre la liberté d'expression? Il faut dire que les féministes ne sont pas de grandes championnes de la liberté d'expression, elles non plus.
Ou encore le déni de la science au profit de dogmes religieux médiévaux? Il faut dire que, encore une fois, les féministes ne sont pas des grandes amatrices de science lorsque les données viennent contredire leurs dogmes à elles.
Et pourquoi ne pas dénoncer le fait que ce cours serve d'outil de propagande pour l'idéologie multiculturaliste? Il faut dire que la propagande, les féministes aiment bien ça, elles aussi.
Mais bon... si la fin justifie les moyens, alors ce cours maudit tombera enfin.
Toutefois, je frémis d'horreur à l'idée de ce à quoi pourrait ressembler un cours de sexualité inspiré des féministes.
Il faudra veiller au grain!
Cela fait des années que des gens se plaignent du cours d'éthique et culture religieuse. Votre humble serviteur l'a fait dès le début et, par la suite, de nombreux intellectuels l'ont vertement critiqué. Des universitaires l'ont même dénoncé dans des études et des journalistes en ont fait des articles dévastateurs.
Rien de tout cela n'a importuné le gouvernement libéral. Même pas un p'tit peu.
Jusqu'à ce que les féministes se décident (enfin) à le dénoncer:
Québec révise le cours d'éthique et de culture religieuse, offert depuis 2008 au primaire et au secondaire. (...) Dans un avis rendu public mercredi, le Conseil du statut de la femme (CSF) estime qu'il «ne remet pas en question les pratiques sexistes existant au sein des religions» et soutient que «le traitement conjugué de l'éthique et de la culture religieuse peut entraîner des confusions en incitant à considérer les doctrines religieuses comme des réponses valides aux enjeux éthiques actuels».
Vous êtes en retard à la fête, Mesdames, mais vaut mieux tard que jamais! Et après ça, elles ont le culot d'affirmer, à chaque élection, que les politiciens les ignorent.
Cela étant dit, elles ont raison (pour une fois) d'affirmer que les pratiques religieuses sexistes méritent d'être remises en question, mais cela n'est pas le seul problème avec ce cours. Il est malheureux que ces dames ne s'insurgent pas contre les autres pratiques religieuses détestables.
Comme par exemple les attaques répétées des groupes religieux contre la liberté d'expression? Il faut dire que les féministes ne sont pas de grandes championnes de la liberté d'expression, elles non plus.
Ou encore le déni de la science au profit de dogmes religieux médiévaux? Il faut dire que, encore une fois, les féministes ne sont pas des grandes amatrices de science lorsque les données viennent contredire leurs dogmes à elles.
Et pourquoi ne pas dénoncer le fait que ce cours serve d'outil de propagande pour l'idéologie multiculturaliste? Il faut dire que la propagande, les féministes aiment bien ça, elles aussi.
Mais bon... si la fin justifie les moyens, alors ce cours maudit tombera enfin.
Toutefois, je frémis d'horreur à l'idée de ce à quoi pourrait ressembler un cours de sexualité inspiré des féministes.
Il faudra veiller au grain!