OK, je l'avoue, je n'y croyais pas vraiment. Je pensais vraiment que Clinton allait gagner.
En ce qui me concerne, si j'avais été américain, j'aurais probablement voté Clinton. Sans le moindre enthousiasme. Mais voilà, nous en sommes là.
Je ne considère pas que ceci est une très bonne nouvelle. Pourquoi? Parce qu'à mon avis, la plus grande menace globale qui existe présentement est la crise climatique. Or, Trump ne croit même pas que cette dernière existe. Ceci m'inquiète profondément.
Cela étant dit, il faut se calmer le pompon. La victoire de Trump n'est pas la fin du monde. J'irais même jusqu'à dire que d'un certain point de vue, il y a du positif dans cette victoire.
Pourquoi?
La victoire de Trump est un désaveu des médias qui étaient profondément biaisés en faveur de Clinton. C'est la même chose qui s'est passé avec Brexit au Royaume-Uni. Les médias ont tout fait pour assassiner la réputation de Trump en le traitant de raciste, de misogyne, de monstre... et il a quand même gagné.
Ceci est encourageant pour le souverainiste que je suis parce que chez nous, le biais fédéraliste des médias est épique. Alors je ne peux que me réjouir en voyant que le contrôle des médias sur l'opinion publique n'est pas aussi grand que je le croyais. Et donc, qu'une victoire référendaire au Québec est parfaitement possible, même avec les médias contre nous.
De plus, une victoire de Trump est un énorme désaveu de deux idéologies abominables qui m'horripilent au plus haut point: le multiculturalisme et le féminisme. C'est une défaite du politiquement correct. C'est une défaite pour les sexistes qui croient qu'il fallait voter pour Clinton "parce qu'elle est une femme". C'est une défaite pour les fourbes hypocrites qui veulent nous faire croire que les attentats terroristes islamistes n'ont rien à voir avec l'Islam. C'est une défaite pour les multiculturalistes qui idéalisent l'immigration et méprisent l'Occident.
Comme le Brexit, c'est également une défaite des globalistes qui veulent nier les identités nationales. C'est une défaite pour les gens qui veulent agir comme si les frontières doivent tomber et dissoudre les souverainetés nationales. Ça aussi, c'est une bonne nouvelle pour un souverainiste.
Bref, je ne suis pas en train de vous dire que je me réjouis. Ce que je dis, c'est que ceci n'est pas la fin du monde et que la vie continue. Et que d'un certain point de vue, ce n'est peut-être pas une si mauvaise nouvelle.
Alors prenons collectivement une grande respiration, laissons la raison triompher sur l'émotion et laissons tomber les hyperboles et les craintes insensées de fin du monde.
Oui, le bonhomme a dit des conneries colossales pendant la campagne. Mais on connaît la musique: c'est une chose de se faire aller la gueule pendant une campagne et c'en est une autre de gouverner. Alors attendons voir.
Finalement, pour comprendre cette victoire et anticiper la suite des choses, je vous invite à lire ces billets:
Donald J. Trump
Si Mahomet remplaçait Trump
En ce qui me concerne, si j'avais été américain, j'aurais probablement voté Clinton. Sans le moindre enthousiasme. Mais voilà, nous en sommes là.
Je ne considère pas que ceci est une très bonne nouvelle. Pourquoi? Parce qu'à mon avis, la plus grande menace globale qui existe présentement est la crise climatique. Or, Trump ne croit même pas que cette dernière existe. Ceci m'inquiète profondément.
Cela étant dit, il faut se calmer le pompon. La victoire de Trump n'est pas la fin du monde. J'irais même jusqu'à dire que d'un certain point de vue, il y a du positif dans cette victoire.
Pourquoi?
La victoire de Trump est un désaveu des médias qui étaient profondément biaisés en faveur de Clinton. C'est la même chose qui s'est passé avec Brexit au Royaume-Uni. Les médias ont tout fait pour assassiner la réputation de Trump en le traitant de raciste, de misogyne, de monstre... et il a quand même gagné.
Ceci est encourageant pour le souverainiste que je suis parce que chez nous, le biais fédéraliste des médias est épique. Alors je ne peux que me réjouir en voyant que le contrôle des médias sur l'opinion publique n'est pas aussi grand que je le croyais. Et donc, qu'une victoire référendaire au Québec est parfaitement possible, même avec les médias contre nous.
De plus, une victoire de Trump est un énorme désaveu de deux idéologies abominables qui m'horripilent au plus haut point: le multiculturalisme et le féminisme. C'est une défaite du politiquement correct. C'est une défaite pour les sexistes qui croient qu'il fallait voter pour Clinton "parce qu'elle est une femme". C'est une défaite pour les fourbes hypocrites qui veulent nous faire croire que les attentats terroristes islamistes n'ont rien à voir avec l'Islam. C'est une défaite pour les multiculturalistes qui idéalisent l'immigration et méprisent l'Occident.
Comme le Brexit, c'est également une défaite des globalistes qui veulent nier les identités nationales. C'est une défaite pour les gens qui veulent agir comme si les frontières doivent tomber et dissoudre les souverainetés nationales. Ça aussi, c'est une bonne nouvelle pour un souverainiste.
Bref, je ne suis pas en train de vous dire que je me réjouis. Ce que je dis, c'est que ceci n'est pas la fin du monde et que la vie continue. Et que d'un certain point de vue, ce n'est peut-être pas une si mauvaise nouvelle.
Alors prenons collectivement une grande respiration, laissons la raison triompher sur l'émotion et laissons tomber les hyperboles et les craintes insensées de fin du monde.
Oui, le bonhomme a dit des conneries colossales pendant la campagne. Mais on connaît la musique: c'est une chose de se faire aller la gueule pendant une campagne et c'en est une autre de gouverner. Alors attendons voir.
Finalement, pour comprendre cette victoire et anticiper la suite des choses, je vous invite à lire ces billets:
Donald J. Trump