Malgré les manoeuvres de Harper qui visent à faire taire tout le monde pendant la campagne électorale au Québec, certains de ses petits complices refusent de se taire. Extrait de la nouvelle:
Le gouvernement Harper doit profiter des élections au Québec pour réitérer haut et fort son appui à la Loi sur la clarté référendaire, affirme le militant pour les droits des anglophones Brent Tyler. Selon lui, Ottawa ne peut rester sur les lignes de touche face à la perspective de l'élection d'un gouvernement péquiste majoritaire. M. Tyler et son collègue Keith Henderson, ancien du Parti égalité, se mobilisent sous la bannière du Comité spécial pour l'unité canadienne. Fait inusité, ils sont appuyés dans leur démarche par un député conservateur de l'Alberta, Peter Goldring.
Que désirent ces messieurs exactement?
Deux choses.
Ils souhaitent tout d'abord que Harper fasse sa profession de foi à la Loi sur la clarté référendaire, une mesure profondément anti-démocratique qui affirme que dans le cas d'un référendum québécois, la règle habituelle du 50% +1 des votes EST INSUFFISANTE! C'est correct pour tout le reste, y compris les élections fédérales, mais lorsqu'il est question de souveraineté du Québec, ça ne suffit plus.
Et souvenez-vous que ces deux zigotos sont les mêmes qui, tout récemment, ont reçu l'appui du gouvernement Harper dans leur démarche de contestation de la Loi 99, qui affirme le droit du Québec de décider de son avenir au sein du Canada.
En résumé, selon ces grands démocrates, une simple majorité n'est pas suffisante pour remporter un référendum sur la souveraineté et de toute façon, le Québec n'est pas en mesure de prendre une telle décision.
OK boys but let's wait until AFTER the election to talk about that. Right now, let's pretend that we are great democrats who respect the democratic process and let's safeguard the illusion that those bloody frogs can actually take decisions about their own future. We'll crush them later, once they've voted. So hush, boys. For now. Just be patient.
Le gouvernement Harper doit profiter des élections au Québec pour réitérer haut et fort son appui à la Loi sur la clarté référendaire, affirme le militant pour les droits des anglophones Brent Tyler. Selon lui, Ottawa ne peut rester sur les lignes de touche face à la perspective de l'élection d'un gouvernement péquiste majoritaire. M. Tyler et son collègue Keith Henderson, ancien du Parti égalité, se mobilisent sous la bannière du Comité spécial pour l'unité canadienne. Fait inusité, ils sont appuyés dans leur démarche par un député conservateur de l'Alberta, Peter Goldring.
Que désirent ces messieurs exactement?
Deux choses.
Ils souhaitent tout d'abord que Harper fasse sa profession de foi à la Loi sur la clarté référendaire, une mesure profondément anti-démocratique qui affirme que dans le cas d'un référendum québécois, la règle habituelle du 50% +1 des votes EST INSUFFISANTE! C'est correct pour tout le reste, y compris les élections fédérales, mais lorsqu'il est question de souveraineté du Québec, ça ne suffit plus.
Et souvenez-vous que ces deux zigotos sont les mêmes qui, tout récemment, ont reçu l'appui du gouvernement Harper dans leur démarche de contestation de la Loi 99, qui affirme le droit du Québec de décider de son avenir au sein du Canada.
En résumé, selon ces grands démocrates, une simple majorité n'est pas suffisante pour remporter un référendum sur la souveraineté et de toute façon, le Québec n'est pas en mesure de prendre une telle décision.
OK boys but let's wait until AFTER the election to talk about that. Right now, let's pretend that we are great democrats who respect the democratic process and let's safeguard the illusion that those bloody frogs can actually take decisions about their own future. We'll crush them later, once they've voted. So hush, boys. For now. Just be patient.