Merci à Fylouz pour le lien vers cette histoire effarante:
Vous pensiez que le code de lancement de l’arsenal nucléaire américain était incassable? Que c’était le secret le mieux gardé de la planète? Vous allez être déçus. Pendant près de 20 ans, le fameux «nuke code» (code nucléaire) à huit chiffres qui permet de libérer le feu de l’apocalypse se composait ainsi: 00000000.
Dans le bunker qui accueillait les silos «Minuteman» et leurs 50 missiles, huit zéros suffisaient donc à lancer les engins. Un ancien membre de l’équipe de tir raconte: «Notre manuel de lancement nous apprenait en fait, l’équipe de tir, à vérifier deux fois le panneau de déverrouillage dans notre bunker souterrain pour s’assurer qu’aucun autre chiffre que le zéro n’avait été appuyé.»
Ce qui revenait, en somme, à révéler le code à tout le personnel militaire du site. Les généraux étaient manifestement obsédés par l’idée que la réponse à une attaque soviétique ne soit pas suffisamment rapide ou que les instructions du Président ne leur parviennent pas.
Apparemment, la possibilité que n'importe quel crétin puisse facilement trouver le code ne semblait pas trop les inquiéter...
Vous pensiez que le code de lancement de l’arsenal nucléaire américain était incassable? Que c’était le secret le mieux gardé de la planète? Vous allez être déçus. Pendant près de 20 ans, le fameux «nuke code» (code nucléaire) à huit chiffres qui permet de libérer le feu de l’apocalypse se composait ainsi: 00000000.
Dans le bunker qui accueillait les silos «Minuteman» et leurs 50 missiles, huit zéros suffisaient donc à lancer les engins. Un ancien membre de l’équipe de tir raconte: «Notre manuel de lancement nous apprenait en fait, l’équipe de tir, à vérifier deux fois le panneau de déverrouillage dans notre bunker souterrain pour s’assurer qu’aucun autre chiffre que le zéro n’avait été appuyé.»
Ce qui revenait, en somme, à révéler le code à tout le personnel militaire du site. Les généraux étaient manifestement obsédés par l’idée que la réponse à une attaque soviétique ne soit pas suffisamment rapide ou que les instructions du Président ne leur parviennent pas.
Apparemment, la possibilité que n'importe quel crétin puisse facilement trouver le code ne semblait pas trop les inquiéter...