La professeure Janice Fiamengo de l'Université d'Ottawa parle du climat malsain créé sur les campus universitaires par les mouvements féministes. Le vidéo nous montre également les tactiques de protestations des féministes qui veulent empêcher les étudiants d'assister à ses conférences.
À voir absolument.
2:08 - La professeure Fiamengo explique sa démarche et son point de vue à propos du féminisme. Elle explique que la plupart des prétentions du mouvement féministe à propos des supposées inégalités dans notre société sont manifestement fausses. Pour continuer à jouer les victimes, les féministes doivent nier la réalité, dit-elle. Elle explique, preuves à L'appui, que le dogme féministe s'est insinué dans tous les curriculums. Les femmes ne sont pas meilleures que les hommes, dit-elle.
7:00 - Les protestataires féministes sont déplacées par les membres de la sécurité afin de libérer l'accès à la salle. Elles se mettent à scander: "This is what men's rights looks like!"
7:29 - Tentatives d'intimidation et agressions verbales d'une féministe envers un étudiant qui souhaite simplement assister à la conférence. Aux yeux de cette dernière, cela fait de lui un apologiste du viol.
8:28 - Mme Fiamengo raconte les protestations violentes qui ont eu lieu à l'Université de Toronto lors d'une de ses conférences. Les protestataires sont déclenché l'alarme de feu afin que l'édifice soit évacué. Les féministes ne veulent pas discuter ni entendre de contre-arguments, dit-elle. Elles ne veulent pas de cette conversation. Et elles réussissent. Elles ont même convaincu les universités de bannir les groupes qui s'intéressent aux droits des hommes.
12:00 - Protestation féministe à l'Université de Toronto. On accuse Mme Fiamengo de tenir des propos "haineux". D'autres pénètrent dans la salle et interrompent Mme Fiamengo pour l'empêcher de s'exprimer.
14:30 - Les professeurs universitaires ont peur de parler parce qu'ils savent qu'ils vont être traités de misogyne et d'apologistes du viol. On voit ensuite une professeure francophone, une certaine Adèle Mercier, tenir exactement ces propos (on la voit à nouveau à 16:15). Le dogme féministe est devenu une espèce de religion, explique Mme Fiamengo.
17:05 - Il est question ici des fausses statistiques à propos du viol.
21:26 - Il est ici question de propos haineux tenus par des féministes à l'égard des hommes.
26:22 - La réplique des féministes à la conférence de Mme Fiamengo. Avec cette même Adèle Mercier en tête. Elles ont refusé que leur conférence soir filmée. Personne n'a monté de protestation. Malgré tout, la sécurité est appelée pour que des homme qui souhaitaient assister à la conférence soit jetés dehors. Même sans sa caméra, le documentariste n'a pas été admis dans la salle.
Le dogme féministe ne peut pas être critiqué et ne peut pas être remis en question. Il s'agit d'une idéologie totalitaire, explique Mme Fiamengo.
À voir absolument.
2:08 - La professeure Fiamengo explique sa démarche et son point de vue à propos du féminisme. Elle explique que la plupart des prétentions du mouvement féministe à propos des supposées inégalités dans notre société sont manifestement fausses. Pour continuer à jouer les victimes, les féministes doivent nier la réalité, dit-elle. Elle explique, preuves à L'appui, que le dogme féministe s'est insinué dans tous les curriculums. Les femmes ne sont pas meilleures que les hommes, dit-elle.
7:00 - Les protestataires féministes sont déplacées par les membres de la sécurité afin de libérer l'accès à la salle. Elles se mettent à scander: "This is what men's rights looks like!"
7:29 - Tentatives d'intimidation et agressions verbales d'une féministe envers un étudiant qui souhaite simplement assister à la conférence. Aux yeux de cette dernière, cela fait de lui un apologiste du viol.
8:28 - Mme Fiamengo raconte les protestations violentes qui ont eu lieu à l'Université de Toronto lors d'une de ses conférences. Les protestataires sont déclenché l'alarme de feu afin que l'édifice soit évacué. Les féministes ne veulent pas discuter ni entendre de contre-arguments, dit-elle. Elles ne veulent pas de cette conversation. Et elles réussissent. Elles ont même convaincu les universités de bannir les groupes qui s'intéressent aux droits des hommes.
12:00 - Protestation féministe à l'Université de Toronto. On accuse Mme Fiamengo de tenir des propos "haineux". D'autres pénètrent dans la salle et interrompent Mme Fiamengo pour l'empêcher de s'exprimer.
14:30 - Les professeurs universitaires ont peur de parler parce qu'ils savent qu'ils vont être traités de misogyne et d'apologistes du viol. On voit ensuite une professeure francophone, une certaine Adèle Mercier, tenir exactement ces propos (on la voit à nouveau à 16:15). Le dogme féministe est devenu une espèce de religion, explique Mme Fiamengo.
17:05 - Il est question ici des fausses statistiques à propos du viol.
21:26 - Il est ici question de propos haineux tenus par des féministes à l'égard des hommes.
26:22 - La réplique des féministes à la conférence de Mme Fiamengo. Avec cette même Adèle Mercier en tête. Elles ont refusé que leur conférence soir filmée. Personne n'a monté de protestation. Malgré tout, la sécurité est appelée pour que des homme qui souhaitaient assister à la conférence soit jetés dehors. Même sans sa caméra, le documentariste n'a pas été admis dans la salle.
Le dogme féministe ne peut pas être critiqué et ne peut pas être remis en question. Il s'agit d'une idéologie totalitaire, explique Mme Fiamengo.