C'est avec un profond dégoût que j'ai lu cet article sexiste, ridicule et haineux de Geneviève St-Germain. Cette misérable misandre décide de critiquer deux personnages qui ont marqué l'actualité récente: le raciste Donald Sterling et le toxicomane Rob Ford. Mais elle n'attaque pas ces deux zigotos pour ce qu'ils ont dit et fait, non! Dans son délire féministe, elle les attaque parce qu'ils sont des hommes! Ben oui, apparemment, des femmes sexistes et toxicomanes, ça n'existe pas. Je n'étais pas au courant.
Voici donc quelques extraits qui donnent la nausée:
"Cette semaine, j’ai été frappée par les nouvelles concernant un certain type de mâle, à savoir le blanc riche et powerful d’un âge certain."
"Donald Sterling, le propriétaire milliardaire déchu des Clippers de Los Angeles suspendu à vie par la NBA et Rob Ford, maire grotesque de Toronto, filmé la pipe de crack à la bouche ont démontré chacun à leur manière les dérives de ce que certains considèrent encore comme la masculinité gagnante."
"Racisme, violence verbale et physique, manque flagrant de sensibilité. On pourrait aussi ajouter homophobie et sexisme qui font généralement partie du package patriarcal toxique."
"Qu’ajouter à ce palmarès édifiant? L’incapacité à avouer ses faiblesses, à admettre ses torts et à demander de l’aide lorsqu’on en a besoin. Et tous les autres comportements liés à l’idée de ce qu’est un homme, un vrai… Vous savez le genre qui met ses culottes, qui ne se laisse pas faire, qui jamais ne se serait fait abuser sexuellement, qui pense constamment au sexe, qui est toujours prêt à la compétition, à l’attaque ou à donner un bon coup de poing sur la gueule pour défendre les siens."
"Un vrai homme, dominateur, fort physiquement, qui ne s’embarrasse pas d’émotions…. sauf la colère! Malheureusement, ce ramassis de croyances socialement construites et qui définissent le masculin est encore bien imprégné dans la culture dominante."
"La masculinité toxique n’est pas uniquement le fait d’hommes mauvais, de brutes ordinaires, de sales types aux comportements moralement répréhensibles, elle se nourrit de nos idées rigides au sujet de ce que doit être un homme ou une femme. Ne reste plus qu’à espérer un vaste mouvement d’hommes prêts à faire le difficile travail de questionner les idées et les croyances dans lesquelles ils ont été élevés. De même que de femmes lucides sur elles-mêmes pour les accompagner.
Oui, ces hommes brutaux, colériques et violents doivent tout remettre en question! Un exercice qui, ironiquement, échappe totalement aux féministes dogmatiques et manichéennes comme Mme St-Germain!
Imaginez un seul instant si un homme décidait d'écrire un papier à propos de quelques mères récemment trouvées coupables d'avoir tué leurs enfants en y voyant une manifestation généralisée de la "féminité toxique". Imaginez ça un seul instant. Vous croyez vraiment qu'un article pareil serait publié dans un grand quotidien? De surcroît, sans que quiconque ne le dénonce?
Mais quand il s'agit de démolir les hommes, on peut littéralement écrire n'im-por-te quoi sans être inquiété.
Voici donc quelques extraits qui donnent la nausée:
"Cette semaine, j’ai été frappée par les nouvelles concernant un certain type de mâle, à savoir le blanc riche et powerful d’un âge certain."
"Donald Sterling, le propriétaire milliardaire déchu des Clippers de Los Angeles suspendu à vie par la NBA et Rob Ford, maire grotesque de Toronto, filmé la pipe de crack à la bouche ont démontré chacun à leur manière les dérives de ce que certains considèrent encore comme la masculinité gagnante."
"Racisme, violence verbale et physique, manque flagrant de sensibilité. On pourrait aussi ajouter homophobie et sexisme qui font généralement partie du package patriarcal toxique."
"Qu’ajouter à ce palmarès édifiant? L’incapacité à avouer ses faiblesses, à admettre ses torts et à demander de l’aide lorsqu’on en a besoin. Et tous les autres comportements liés à l’idée de ce qu’est un homme, un vrai… Vous savez le genre qui met ses culottes, qui ne se laisse pas faire, qui jamais ne se serait fait abuser sexuellement, qui pense constamment au sexe, qui est toujours prêt à la compétition, à l’attaque ou à donner un bon coup de poing sur la gueule pour défendre les siens."
"Un vrai homme, dominateur, fort physiquement, qui ne s’embarrasse pas d’émotions…. sauf la colère! Malheureusement, ce ramassis de croyances socialement construites et qui définissent le masculin est encore bien imprégné dans la culture dominante."
"La masculinité toxique n’est pas uniquement le fait d’hommes mauvais, de brutes ordinaires, de sales types aux comportements moralement répréhensibles, elle se nourrit de nos idées rigides au sujet de ce que doit être un homme ou une femme. Ne reste plus qu’à espérer un vaste mouvement d’hommes prêts à faire le difficile travail de questionner les idées et les croyances dans lesquelles ils ont été élevés. De même que de femmes lucides sur elles-mêmes pour les accompagner.
Oui, ces hommes brutaux, colériques et violents doivent tout remettre en question! Un exercice qui, ironiquement, échappe totalement aux féministes dogmatiques et manichéennes comme Mme St-Germain!
Imaginez un seul instant si un homme décidait d'écrire un papier à propos de quelques mères récemment trouvées coupables d'avoir tué leurs enfants en y voyant une manifestation généralisée de la "féminité toxique". Imaginez ça un seul instant. Vous croyez vraiment qu'un article pareil serait publié dans un grand quotidien? De surcroît, sans que quiconque ne le dénonce?
Mais quand il s'agit de démolir les hommes, on peut littéralement écrire n'im-por-te quoi sans être inquiété.