Extrait de la très édifiante nouvelle:
L'annonceur maison des matchs à Gangneung, Sébastien Goulet, a affirmé cette semaine au Journal de Montréal que Bayne Pettinger, responsable des opérations à Hockey Canada, lui a demandé qu'il cesse de prononcer en français les noms de Marc-André Gragnani, Derek Roy et Rene Bourque.
«Pour la deuxième rencontre à l'aréna de Gangneung, on m'a demandé d'angliciser ces trois noms de famille à la demande de Hockey Canada», a-t-il dit au média de Québecor.
Il s'agit de La Presse fédéraliste, alors vous avez détecté l'intention du journaliste en soulignant le fait qu'il s'agit d'un "média de Québecor"? On veut nous faire croire que ce sont encore ces maudits séparatistes qui en font tout un plat. La propagande fédéraliste doit être toujours présente, subtilement ou pas.
Pourtant, ceci n'est pas un cas isolé:
On se souvient du Championnat mondial de hockey junior en 2017 où l’anglais était la seule langue permise dans le vestiaire malgré la présence de sept joueurs et deux entraîneurs francophones. Une décision des deux instructeurs de chez nous. L’histoire, qui avait fait couler beaucoup d’encre, s’était même rendue au bureau de l’office des langues officielles.
Ça doit être un complot des séparatistes ça aussi, je suppose...
L'annonceur maison des matchs à Gangneung, Sébastien Goulet, a affirmé cette semaine au Journal de Montréal que Bayne Pettinger, responsable des opérations à Hockey Canada, lui a demandé qu'il cesse de prononcer en français les noms de Marc-André Gragnani, Derek Roy et Rene Bourque.
«Pour la deuxième rencontre à l'aréna de Gangneung, on m'a demandé d'angliciser ces trois noms de famille à la demande de Hockey Canada», a-t-il dit au média de Québecor.
Il s'agit de La Presse fédéraliste, alors vous avez détecté l'intention du journaliste en soulignant le fait qu'il s'agit d'un "média de Québecor"? On veut nous faire croire que ce sont encore ces maudits séparatistes qui en font tout un plat. La propagande fédéraliste doit être toujours présente, subtilement ou pas.
Pourtant, ceci n'est pas un cas isolé:
On se souvient du Championnat mondial de hockey junior en 2017 où l’anglais était la seule langue permise dans le vestiaire malgré la présence de sept joueurs et deux entraîneurs francophones. Une décision des deux instructeurs de chez nous. L’histoire, qui avait fait couler beaucoup d’encre, s’était même rendue au bureau de l’office des langues officielles.
Ça doit être un complot des séparatistes ça aussi, je suppose...