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Le témoignage de Bernard Ravet

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Dans cet article, Facal nous parle de Bernard Ravet, un directeur retraité qui a travaillé dans trois lycées publics marseillais.

Son témoignage est un sévère avertissement qui mérite d'être entendu.

Extraits:

« Longtemps, je me suis tu. [...]. Par crainte de stigmatiser les établissements que je dirigeais et d’en aggraver la réputation peu flatteuse [...]. Par souci de protéger les élèves et les familles alors majoritaires qui résistaient aux coups de boutoir du fanatisme. Par peur d’être accusé d’islamophobie ou de racisme rampant».

(...) Les jeunes filles et les enseignantes qui mettent des jupes se font traiter de « putes » par des jeunes hommes qui se disent pieux, mais qui sont aussi les principaux dealers de drogue dans les établissements.

Contradictoire ? Réponse des dealers : « Les consommateurs ne sont pas musulmans. Si la drogue tue, elle ne tue que des mécréants. Ce n’est pas contraire à notre religion ».

Les repas halal, jadis marginaux, sont maintenant majoritaires. Le ramadan, jadis pratiqué par la moitié environ, l’est aujourd’hui par 90 à 95 % des étudiants musulmans.

Les garçons trouvent normal de se moquer des filles et s’attendent, évidemment, à marier des vierges. Eux, par contre, baisent allègrement.

En France, la loi oblige les filles qui portent le foulard islamique à l’enlever en entrant dans l’établissement.

« La plupart, écrit Ravet, se découvrent avant d’arriver à la porte. Mais certaines tentent de forcer le passage, de retarder au maximum le moment d’enlever leur voile, de pénétrer d’un mètre, de deux mètres, dans l’enceinte du collège. Toujours grignoter du territoire. C’est une bataille pied à pied. »
Celles-là comprennent la portée politique du foulard.

(...) Un jour, raconte Ravet, un étudiant explique en classe pourquoi la lapidation d’une femme adultère est acceptable.

Quand l’enseignante lui demande d’où il tient cela, il explique que c’est écrit dans le petit bouquin qu’on lui a remis, qui plaide aussi pour la main coupée aux voleurs et l’infériorité naturelle des femmes.

Elle demande : « Quel petit livre ? » Réponse : un petit fascicule qui vient de la mosquée du coin, celle fréquentée par Abdel, un des surveillants.

Ravet écrit : « Abdel. Toujours propre sur lui. Habillé à l’occidentale. Physique sec. Petite barbiche bien taillée. Extrêmement poli. Je n’ai qu’à m’en féliciter. [...]. Pour tout dire, c’est mon meilleur surveillant ».




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