Et leurs propos rejoignent ceux que j'ai tenus à plusieurs reprises sur ce blogue.
C'est beau à voir.
Extraits de la lettre ouverte publiée dans Le Figaro:
Les femmes sont nombreuses, plurielles, diverses. Nous sommes 52% de la population française. Nous sommes des femmes, des mères, des épouses, des filles, des professionnelles. Nous sommes de toutes les catégories sociales. De toutes les couleurs. De toutes les obédiences.
(...) Nous sommes de gauche, du PS, écologistes, de droite constructive, des Républicains, du centre, d'En Marche ou non politisées. Nous sommes présidentes d'associations, de réseaux, expertes, ou simplement des citoyennes concernées.
Nous sommes des femmes et nous avons des opinions à exprimer, comme nous diverses, plurielles, variées.
Pourtant, depuis des années, le débat public sur le féminisme est confisqué par une frange militante d'extrême gauche.
(...) Nous demandons solennellement à la presse de cesser de parler «des féministes» ou pire «des femmes» en mentionnant des actions politisées et instrumentalisées, montées à seule fin d'exister dans un débat public difficile.
Nous refusons d'être instrumentalisées par les porte-parole d'Osez le féminisme dont le biais est totalement politisé, dont l'unique moteur est la visibilité médiatique par la contestation permanente.
Moteur qui en soi n'est pas condamnable, si elle s'exprimait honnêtement, sans prétendre parler pour toutes les femmes, ou pour toutes les féministes.
(...) Nous demandons à «Osez le féminisme», omniprésent sur les réseaux sociaux, de parler pour ce qu'elles représentent: leurs adhérentes. Pas les autres. Pas nous.
C'est beau à voir.
Extraits de la lettre ouverte publiée dans Le Figaro:
Les femmes sont nombreuses, plurielles, diverses. Nous sommes 52% de la population française. Nous sommes des femmes, des mères, des épouses, des filles, des professionnelles. Nous sommes de toutes les catégories sociales. De toutes les couleurs. De toutes les obédiences.
(...) Nous sommes de gauche, du PS, écologistes, de droite constructive, des Républicains, du centre, d'En Marche ou non politisées. Nous sommes présidentes d'associations, de réseaux, expertes, ou simplement des citoyennes concernées.
Nous sommes des femmes et nous avons des opinions à exprimer, comme nous diverses, plurielles, variées.
Pourtant, depuis des années, le débat public sur le féminisme est confisqué par une frange militante d'extrême gauche.
(...) Nous demandons solennellement à la presse de cesser de parler «des féministes» ou pire «des femmes» en mentionnant des actions politisées et instrumentalisées, montées à seule fin d'exister dans un débat public difficile.
Nous refusons d'être instrumentalisées par les porte-parole d'Osez le féminisme dont le biais est totalement politisé, dont l'unique moteur est la visibilité médiatique par la contestation permanente.
Moteur qui en soi n'est pas condamnable, si elle s'exprimait honnêtement, sans prétendre parler pour toutes les femmes, ou pour toutes les féministes.
(...) Nous demandons à «Osez le féminisme», omniprésent sur les réseaux sociaux, de parler pour ce qu'elles représentent: leurs adhérentes. Pas les autres. Pas nous.