Le totalitarisme idéologique universitaire est plus qu'inquiétant. Il s'agit d'une véritable ignominie. Le milieu universitaire, qui se devrait d'être le théâtre par excellence des plus grands débats, est devenu le royaume de la pensée unique gauchiste. Quiconque ose tenir des propos qui contredisent l'évangile de la gauche est immédiatement honni.
On ne débat plus, on bannit.
L'exemple le plus ahurissant s'est produit tout récemment à l'université de Berkeley, en Californie. Lorsque le conférencier Milo Yiannopoulos a été invité à prendre la parole, ses opposants se sont transformés en émeutiers. Des gens ont été agressés et certains ont été sérieusement blessés. Des feux ont été allumés. Des édifices et des voitures ont été vandalisés.
Loin de regretter la tournure des événements, l'organisatrice de l'émeute, Yvette Felarca, en est fière! Et plutôt que d'offrir des contre-arguments et de débattre, elle préfère balancer des insultes et des accusation diffamatoires infondées pour tenter d'assassiner la réputation de Yiannopoulos, comme on peut le voir dans ce vidéo de AIU:
Oui, une femme qui refuse de débattre et qui veut empêcher quelqu'un de parler a le culot d'accuser un conférencier de fascisme. Quelle extraordinaire ironie!
Et n'allez pas croire que ce phénomène est exclusif aux campus américains. La situation est aussi toxique chez nous.
Extrait de la honteuse nouvelle:
Cette affiche, qui a fait grand bruit voilà deux semaines, faisait en fait partie d’un coup d’éclat médiatique réalisé par Radio-Canada.
Publiée ce matin, la vidéo de la série Corde Sensible, explique la démarche de la journaliste Marie-Ève Tremblay. Elle a déjà été partagée plus de 900 fois en 3 heures.
Pour tester la tolérance des étudiants universitaires par rapport à des discours plus tranchés, la journaliste et une professeure de l'UQAM ont installé deux affiches aux propos peu nuancés à l’UQAM: l’une portant sur le sentiment idenditaire de droite, l’autre, se positionnant pour les actes de vandalisme anti-gentrification. Ces deux affiches ne font donc pas référence à des groupes organisés et spécifiques de l’UQAM.
Alors que la deuxième affiche n’a pas fait réagir, la première a beaucoup fait parler, à l’UQAM comme dans les réseaux sociaux. D’autres affiches ont été posées par-dessus et des affiches «répondant» au message identitaire ont également été posées juste à côté. L’Association facultaire étudiante des sciences humaines des l’UQAM (l’AFESH) a ouvertement dénoncé l’affiche à teneur identitaire.
Or, tout ça n’était que pour tester jusqu’à quel point un discours controversé était toléré dans une université.
Au visionnement de la vidéo, il semble que les étudiants de l’UQAM ne passent pas le test.
On est rendus là.
Si tu n'es pas un multiculturaliste féministe communiste anti-gentrification anticapitaliste, tu n'as pas ta place à l'université. Tu n'as même pas le droit de prendre la parole!
La liberté de parole est réservée aux gens qui pensent comme eux. Autrement, ton point de vue ne sera pas "toléré".
La gauche totalitaire intolérante et intransigeante a parlé.
Tout simplement dégoûtant...
On ne débat plus, on bannit.
L'exemple le plus ahurissant s'est produit tout récemment à l'université de Berkeley, en Californie. Lorsque le conférencier Milo Yiannopoulos a été invité à prendre la parole, ses opposants se sont transformés en émeutiers. Des gens ont été agressés et certains ont été sérieusement blessés. Des feux ont été allumés. Des édifices et des voitures ont été vandalisés.
Loin de regretter la tournure des événements, l'organisatrice de l'émeute, Yvette Felarca, en est fière! Et plutôt que d'offrir des contre-arguments et de débattre, elle préfère balancer des insultes et des accusation diffamatoires infondées pour tenter d'assassiner la réputation de Yiannopoulos, comme on peut le voir dans ce vidéo de AIU:
Et n'allez pas croire que ce phénomène est exclusif aux campus américains. La situation est aussi toxique chez nous.
Extrait de la honteuse nouvelle:
Cette affiche, qui a fait grand bruit voilà deux semaines, faisait en fait partie d’un coup d’éclat médiatique réalisé par Radio-Canada.
Publiée ce matin, la vidéo de la série Corde Sensible, explique la démarche de la journaliste Marie-Ève Tremblay. Elle a déjà été partagée plus de 900 fois en 3 heures.
Pour tester la tolérance des étudiants universitaires par rapport à des discours plus tranchés, la journaliste et une professeure de l'UQAM ont installé deux affiches aux propos peu nuancés à l’UQAM: l’une portant sur le sentiment idenditaire de droite, l’autre, se positionnant pour les actes de vandalisme anti-gentrification. Ces deux affiches ne font donc pas référence à des groupes organisés et spécifiques de l’UQAM.
Alors que la deuxième affiche n’a pas fait réagir, la première a beaucoup fait parler, à l’UQAM comme dans les réseaux sociaux. D’autres affiches ont été posées par-dessus et des affiches «répondant» au message identitaire ont également été posées juste à côté. L’Association facultaire étudiante des sciences humaines des l’UQAM (l’AFESH) a ouvertement dénoncé l’affiche à teneur identitaire.
Or, tout ça n’était que pour tester jusqu’à quel point un discours controversé était toléré dans une université.
Au visionnement de la vidéo, il semble que les étudiants de l’UQAM ne passent pas le test.
Si tu n'es pas un multiculturaliste féministe communiste anti-gentrification anticapitaliste, tu n'as pas ta place à l'université. Tu n'as même pas le droit de prendre la parole!
La liberté de parole est réservée aux gens qui pensent comme eux. Autrement, ton point de vue ne sera pas "toléré".
La gauche totalitaire intolérante et intransigeante a parlé.
Tout simplement dégoûtant...