Imaginez un refuge pour itinérants qui refuserait d'admettre des Noirs.
Imaginez un centre pour personnes âgées qui refuserait d'héberger des Juifs.
Imaginez une école pour enfants en difficulté qui refuserait d'aider des gauchers.
Imaginez un hôpital qui refuserait de soigner des roux.
Impensable, pas vrai? Vous vous dites qu'une telle discrimination ne serait pas possible dans une société ouverte et moderne comme la nôtre, n'est-ce pas?
Vous avez raison en ce qui a trait aux Noirs, aux Juifs, aux gauchers et aux roux.
Mais il existe un groupe dans notre société envers qui toutes les discriminations sont encore acceptées: les hommes.
Voyez par vous-mêmes en lisant ce renversant billet d'Olivier Kaestlé.
Les centres québécois d'aide aux personnes victimes d'agressions sexuelles n'admettent pas les garçons et les hommes. Et si un centre ose défier cette consigne, il est immédiatement banni de l'association provinciale.
De plus, alors que l'aide aux femmes est un service subventionné par le gouvernement, le centre rebelle qui souhaite également venir en aide aux hommes a dû se tourner vers... Centraide!
Allez lire ça, vous n'en croirez pas vos yeux. Et vous vous direz que la misandrie haineuse des féministes n'a vraiment aucune limite.
Imaginez un centre pour personnes âgées qui refuserait d'héberger des Juifs.
Imaginez une école pour enfants en difficulté qui refuserait d'aider des gauchers.
Imaginez un hôpital qui refuserait de soigner des roux.
Impensable, pas vrai? Vous vous dites qu'une telle discrimination ne serait pas possible dans une société ouverte et moderne comme la nôtre, n'est-ce pas?
Vous avez raison en ce qui a trait aux Noirs, aux Juifs, aux gauchers et aux roux.
Mais il existe un groupe dans notre société envers qui toutes les discriminations sont encore acceptées: les hommes.
Voyez par vous-mêmes en lisant ce renversant billet d'Olivier Kaestlé.
Les centres québécois d'aide aux personnes victimes d'agressions sexuelles n'admettent pas les garçons et les hommes. Et si un centre ose défier cette consigne, il est immédiatement banni de l'association provinciale.
De plus, alors que l'aide aux femmes est un service subventionné par le gouvernement, le centre rebelle qui souhaite également venir en aide aux hommes a dû se tourner vers... Centraide!
Allez lire ça, vous n'en croirez pas vos yeux. Et vous vous direz que la misandrie haineuse des féministes n'a vraiment aucune limite.