Encore et encore, les politiques féministes continuent d'exiger des traitements de faveur pour les femmes, insinuant par la même occasion que ces dernières seraient bien incapables de réussir par elles-mêmes. Comme si les femmes étaient des handicapées qui ont besoin d'une rampe d'accès.
Extrait de cet excellent billet d'Olivier Kaesté:
Faut-il fusionner la Condition féminine et l’Office des personnes handicapées?
La question, en apparence insolente, se pose tout de même si l’on considère que Mme Lise Thériault, vice première ministre et ministre responsable à la Condition féminine, vient d’annoncer une subvention de 200 000 $ au Groupe Femmes, Politique et Démocratie afin que cette instance soutienne et outille les femmes désireuses de se lancer en politique municipale.
Selon cette femme d’expérience, dont l’opinion compte puisqu’elle a un passé de femmes d’affaires en plus d’être elle-même politicienne, la gent féminine ne peut compter sur son seul mérite ni sur ses seules compétences pour réussir dans ce domaine inquiétant infesté de testostérone. Il faut soutenir leur progression chancelante sur les sentiers escarpés et sillonnés de périls de la politique municipale.
En comparaison, les hommes, semble croire la ministre, demeurent autonomes, débrouillards, combattifs, ingénieux, stratégiques, extrovertis, communicatifs, désinhibés, charismatiques, bons orateurs, habiles à ramasser des fonds, brefs, incontestablement supérieurs à leurs consœurs politiciennes dont la faible représentation, à peine 20%, parlerait d’elle-même.
Je l'ai dit et je le répète, les féministes sont les nouvelles misogynes.
Extrait de cet excellent billet d'Olivier Kaesté:
Faut-il fusionner la Condition féminine et l’Office des personnes handicapées?
La question, en apparence insolente, se pose tout de même si l’on considère que Mme Lise Thériault, vice première ministre et ministre responsable à la Condition féminine, vient d’annoncer une subvention de 200 000 $ au Groupe Femmes, Politique et Démocratie afin que cette instance soutienne et outille les femmes désireuses de se lancer en politique municipale.
Selon cette femme d’expérience, dont l’opinion compte puisqu’elle a un passé de femmes d’affaires en plus d’être elle-même politicienne, la gent féminine ne peut compter sur son seul mérite ni sur ses seules compétences pour réussir dans ce domaine inquiétant infesté de testostérone. Il faut soutenir leur progression chancelante sur les sentiers escarpés et sillonnés de périls de la politique municipale.
En comparaison, les hommes, semble croire la ministre, demeurent autonomes, débrouillards, combattifs, ingénieux, stratégiques, extrovertis, communicatifs, désinhibés, charismatiques, bons orateurs, habiles à ramasser des fonds, brefs, incontestablement supérieurs à leurs consœurs politiciennes dont la faible représentation, à peine 20%, parlerait d’elle-même.
Je l'ai dit et je le répète, les féministes sont les nouvelles misogynes.