Contrairement à ce que voudraient nous faire croire les apôtres du multiculturalisme, les islamistes radicaux ne sont pas de simples psychopathes dont les croyances n'ont rien à voir avec celles de la majorité de la population musulmane mondiale. Ce serait merveilleux si c'était le cas, mais c'est un mensonge.
La réalité est que, bien que la vaste majorité des musulmans ne soient pas des fanatiques violents, ils partagent tout de même de nombreuses croyances et convictions qui nourrissent la haine des fanatiques et qui justifient leurs actions.
David French l'explique très bien en utilisant l'image d'une "pyramide":
To understand the Muslim edifice of hate, imagine it as a pyramid — with broadly-shared bigotry at the bottom, followed by stair steps of escalating radicalism — culminating in jihadist armies that in some instances represent a greater share of their respective populations than does the active-duty military in the United States.
La base de cette pyramide, dit-il, est la croyance haineuse la plus répandue dans la population musulmane, c'est-à-dire l'antisémitisme:
The base of the pyramid, the most broadly held hatred in the Islamic world, is anti-Semitism, with staggering numbers of Muslims expressing anti-Jewish views. In 2014, the Anti-Defamation League released the results of polling 53,100 people in 102 countries for evidence of anti-Semitic attitudes and beliefs. The numbers from the majority-Muslim world are difficult to believe for those steeped in politically correct rhetoric about Islam. A full 74 percent of North African and Middle Eastern residents registered anti-Semitic beliefs, including 92 percent of Iraqis, a whopping 69 percent of relatively secular Turks, and 74 percent of Saudis. The trend toward Muslim anti-Semitism continues even when Muslim nations are far removed from the Arab–Israeli conflict. A solid majority — 61 percent — of majority-Muslim Malays harbor anti-Semitic attitudes, while only 13 percent of neighboring majority-Buddhist Thais are anti-Jewish.
À l'étage suivant de la pyramide, explique French, on retrouve la haine des apostats:
The next level of the pyramid is Muslim commitment to deadly Islamic supremacy. In multiple Muslim nations, overwhelming majorities of Muslims support the death penalty for apostasy or blasphemy. Collectively, this means that hundreds of millions of men and women support capital punishment for the exercise of the basic human rights of freedom of expression and free exercise of religion:
À l'étage suivant, écrit French, on retrouve un nombre effarant de musulmans qui ne commettent pas d'actes de violence, mais qui sont tout à fait sympathiques aux actions des djihadistes et qui les célèbrent comme des héros:
Moving beyond Islamic supremacy to the next step of the pyramid, enormous numbers of Muslims are terrorist sympathizers. It is still stunning to see how popular Osama bin Laden was early last decade, and even as his popularity plunged (as he grew weaker and more isolated), his public approval remained disturbingly high:
Pour ce qui est de Daech, écrit French, bien que la majorité des musulmans se dise en désaccord avec leurs actions, ceux qui les voient d'un oeil favorable sont suffisamment nombreux pour justifier qu'on ne parle pas simplement d'une "poignée" de fanatiques marginaux:
But what about ISIS — the world’s most savage and deadly terror organization? The latest polling data show that while a majority of Muslims reject ISIS, extrapolating from the populations of polled countries alone shows that roughly 50 million people express sympathy for a terrorist army that burns prisoners alive, throws gay men from buildings, and beheads political opponents. In Pakistan a horrifying 72 percent couldn’t bring themselves to express an unfavorable view of ISIS:
L'étage suivant, écrit French, est difficile à chiffrer. Combien de ces gens qui sont favorables aux islamistes violents passent-ils d'un soutien passif à un "soutien actif"? En d'autres termes, combien font circuler la propagande haineuse sur les réseaux sociaux, combien soutiennent les imams radicaux et combien contribuent financièrement aux organisations violentes?
But sympathy for terror is different from active support, and here’s where the numbers are difficult to pin down. I know of no reliable database that shows how many Muslims give to jihadist charities, spread jihadist propaganda on social media, support radical preachers, or otherwise take concrete actions to advance the terrorists’ cause. We do know, for example, that anti-Israel terrorism is so popular in Saudi Arabia that a telethon once raised $100 million to support the 2002 intifada.
Ces croyances haineuses partagées par de larges pans de la population musulmane, écrit French, constituent le terreau dans lequel s'épanouit le terrorisme et le djihad. Il est donc faux d'affirmer, comme le font plusieurs, que les assassins fanatiques ne sont "pas des vrais musulmans" et que leur idéologie n'a "rien à voir" avec celles de leurs coreligionnaires.
Et c'est finalement au sommet de la pyramide qu'on retrouve les djihadistes actifs qui commettent des atrocités. Et ils ne sont pas qu'une poignée:
(...) It is from this fertile soil that jihadists grow. And here the numbers decisively belie the “few extremists” rhetoric. In Iran alone, the Revolutionary Guard represents a proportionate share of the population similar to the combined strength of the active-duty Army and Marines here in the United States. Between Boko Haram, the Al-Nusra front, ISIS, Hezbollah, Hamas, al-Qaeda, the Taliban, Yemeni militias, Libyan militias, and many others, the number of active jihadists numbers in the hundreds of thousands; some estimates indicate that 100,000 are fighting in Syria alone.
To give a sense of proportion, the United States is a nation that honors military service, respects its veterans, and engages in a massive military recruiting effort that includes offering soldiers generous salaries, pensions, benefits, and the best military equipment in the world. Even then, only about 0.4 percent of the American population engages in active-duty military service at any given time.
Jihadists, by contrast, have low life expectancies, second-rate gear, low salaries, and often have to break domestic laws and journey across battlefields to join terrorist insurgencies, but still they join. In Britain, for example, more Muslims join ISIS than join the British army.
French dénonce les mensonges des élites politiques et des médias qui répètent sans relâche le même message mensonger, servant inlassablement leurs condescendantes leçons à la population et évitant toujours de de nommer ou même de voir ou la réalité en face au nom de la soi-disant tolérance et de l'ouverture:
Simply put, America’s leaders actively deceive the American people about the sheer scale of Muslim hatred and commitment to jihad. Rather than tell us the truth, the Obama administration and the media aristocracy constantly lecture Americans about discrimination, apparently believing that only their scolding keeps the great redneck masses at bay.
Telling us the truth won’t send Americans on an anti-Muslim killing spree. Instead, it will make us no more radical than Egypt’s president, who briefly made headlines earlier this year after calling for a “revolution” in Islam and decrying faith traditions that he admitted had been “sacralized over the centuries.” Telling the truth can demonstrate the scale of the problem and at least begin the process of convincing the American people that there is no quick fix, that the defense of the nation will require courage and resolve over the long term.
Islam has a problem. It is Muslims’ responsibility to reform their own faith. It is America’s responsibility to defend itself and its citizens. Neither goal is advanced by telling convenient, politically correct lies. After 14 years of war, can we finally tell the truth?
Il faut cesser de se mettre la tête dans le sable et il faut regarder la vérité en face. L'angélisme et l'ouverture ont l'avantage de nous faire nous sentir bien et de nous convaincre de notre propre supériorité morale de personne "tolérante" et "non-raciste", mais concrètement, cela ne règle rien.
Se mettre la tête dans le sable et refuser de voir le problème ne nous approche pas d'une meilleure compréhension et encore moins d'une solution. Au contraire, il contribue à amplifier le problème.
Refuser de reconnaître l'alcoolisme d'un ami ne l'aide pas à régler son problème. Pire, le nier contribue à amplifier sa dépendance et ses comportements malsains, dangereux et autodestructeurs.
Le djihad est l'alcoolisme de l'Islam. C'est sa drogue dure.
Tant qu'on ne regardera pas le problème en pleine face, tant qu'on niera les liens entre la violence et l'idéologie musulmane, tant qu'on refusera de voir le rôle de la religion dans l'endoctrinement et la radicalisation, on ne sera pas en mesure de trouver des solutions et d'aider nos frères et soeurs musulmans à vaincre leur addiction et à briser le cycle de violence et de destruction.
Identifier les aspects toxiques de l'Islam ne signifie pas qu'on soit raciste ou qu'on déteste les musulmans. Au contraire, cela signifie que nous voulons leur bien! Les Québécois ont courageusement renversé la théocratie catholique qui les a dominés impitoyablement pendant des siècles! Nous devrions faire bénéficier les musulmans de notre expérience et de notre lutte de libération contre la religion.
Cessons de "respecter" des croyances irrationnelles, infondées et malsaines! Cessons de "respecter" des superstitions ancestrales ridicules. Cessons de "respecter" la manipulation, le mensonge et le délire. Cessons d'encourager et de financer l'endoctrinement religieux! Aidons les musulmans à briser leurs chaînes, comme nous l'avons fait. Aidons-les à sortir de la noirceur et à entrer avec nous dans la modernité!
En passant, remarquez que j'ai décidé de ne plus utiliser le terme "EI" et de dorénavant les appeler "Daech". Juste pour les faire chier.
Si le sujet vous intéresse et que vous souhaitez mieux comprendre cette question, jetez un coup d'oeil à ces autres billets qui traitent de l'Islam radical:
Entrevue avec Salman Rushdie
En finir avec ce tabou de la prétendue "islamophobie". Je le répète. Pourquoi ne pourrait-on débattre de l'islam ? Il est possible de respecter des individus, de les préserver de l'intolérance, tout en affichant son scepticisme envers leurs idées, voire en les critiquant farouchement.
Si Allah le dit!
Voilà un vidéo horrifiant et fascinant qui fait la démonstration de façon très claire que les croyances les plus abominables issues de l'Islam ne sont pas l'apanage des terroristes fanatiques, mais semblent plutôt être largement acceptées par les musulmans en général.
Wafa Sultan versus l'Islam
Ayaan Hirsi Ali dénonce le multiculturalisme
«Le multiculturalisme trahit les femmes et les enfants.»
«L'islamisme est la maladie de l'islam, mais les germes sont dans le texte»
Entrevue fort intéressante avec Abdelwahab Meddeb, le "Voltaire arabe".
Le poison au coeur de l'Islam
Il me semble évident que le principal responsable de l'islamisme, c'est l'Islam. C'est la religion qui fabrique des fanatiques. Et cette récente étude semble me donner raison.
La peine de mort en cas de blasphème contre l'islam!
Plus de 40 000 personnes manifestaient dimanche selon la police à Karachi, dans le sud du Pakistan, contre toute révision de la loi prévoyant la peine de mort en cas de blasphème contre l'islam.
L'Islam est au coeur de l'EI
The reality is that the Islamic State is Islamic. Very Islamic. Yes, it has attracted psychopaths and adventure seekers, drawn largely from the disaffected populations of the Middle East and Europe. But the religion preached by its most ardent followers derives from coherent and even learned interpretations of Islam.
Le problème avec la tolérance religieuse...
You can think a religious belief is wrong without being intolerant. Tolerance is not synonymous with “believing someone else is right.” It is a virtue that allows you to coexist with people whose way of life is different from your own without throwing a temper tantrum, or a punch.
Le visage du fanatisme
Extraits d'une entrevue avec Anjem Choudary, l'un des fanatiques les plus connus du Royaume-Uni qui souhaite l'imposition de la charia en Occident.
La réalité est que, bien que la vaste majorité des musulmans ne soient pas des fanatiques violents, ils partagent tout de même de nombreuses croyances et convictions qui nourrissent la haine des fanatiques et qui justifient leurs actions.
David French l'explique très bien en utilisant l'image d'une "pyramide":
To understand the Muslim edifice of hate, imagine it as a pyramid — with broadly-shared bigotry at the bottom, followed by stair steps of escalating radicalism — culminating in jihadist armies that in some instances represent a greater share of their respective populations than does the active-duty military in the United States.
La base de cette pyramide, dit-il, est la croyance haineuse la plus répandue dans la population musulmane, c'est-à-dire l'antisémitisme:
The base of the pyramid, the most broadly held hatred in the Islamic world, is anti-Semitism, with staggering numbers of Muslims expressing anti-Jewish views. In 2014, the Anti-Defamation League released the results of polling 53,100 people in 102 countries for evidence of anti-Semitic attitudes and beliefs. The numbers from the majority-Muslim world are difficult to believe for those steeped in politically correct rhetoric about Islam. A full 74 percent of North African and Middle Eastern residents registered anti-Semitic beliefs, including 92 percent of Iraqis, a whopping 69 percent of relatively secular Turks, and 74 percent of Saudis. The trend toward Muslim anti-Semitism continues even when Muslim nations are far removed from the Arab–Israeli conflict. A solid majority — 61 percent — of majority-Muslim Malays harbor anti-Semitic attitudes, while only 13 percent of neighboring majority-Buddhist Thais are anti-Jewish.
À l'étage suivant de la pyramide, explique French, on retrouve la haine des apostats:
The next level of the pyramid is Muslim commitment to deadly Islamic supremacy. In multiple Muslim nations, overwhelming majorities of Muslims support the death penalty for apostasy or blasphemy. Collectively, this means that hundreds of millions of men and women support capital punishment for the exercise of the basic human rights of freedom of expression and free exercise of religion:
À l'étage suivant, écrit French, on retrouve un nombre effarant de musulmans qui ne commettent pas d'actes de violence, mais qui sont tout à fait sympathiques aux actions des djihadistes et qui les célèbrent comme des héros:
Moving beyond Islamic supremacy to the next step of the pyramid, enormous numbers of Muslims are terrorist sympathizers. It is still stunning to see how popular Osama bin Laden was early last decade, and even as his popularity plunged (as he grew weaker and more isolated), his public approval remained disturbingly high:
Pour ce qui est de Daech, écrit French, bien que la majorité des musulmans se dise en désaccord avec leurs actions, ceux qui les voient d'un oeil favorable sont suffisamment nombreux pour justifier qu'on ne parle pas simplement d'une "poignée" de fanatiques marginaux:
But what about ISIS — the world’s most savage and deadly terror organization? The latest polling data show that while a majority of Muslims reject ISIS, extrapolating from the populations of polled countries alone shows that roughly 50 million people express sympathy for a terrorist army that burns prisoners alive, throws gay men from buildings, and beheads political opponents. In Pakistan a horrifying 72 percent couldn’t bring themselves to express an unfavorable view of ISIS:
L'étage suivant, écrit French, est difficile à chiffrer. Combien de ces gens qui sont favorables aux islamistes violents passent-ils d'un soutien passif à un "soutien actif"? En d'autres termes, combien font circuler la propagande haineuse sur les réseaux sociaux, combien soutiennent les imams radicaux et combien contribuent financièrement aux organisations violentes?
But sympathy for terror is different from active support, and here’s where the numbers are difficult to pin down. I know of no reliable database that shows how many Muslims give to jihadist charities, spread jihadist propaganda on social media, support radical preachers, or otherwise take concrete actions to advance the terrorists’ cause. We do know, for example, that anti-Israel terrorism is so popular in Saudi Arabia that a telethon once raised $100 million to support the 2002 intifada.
Ces croyances haineuses partagées par de larges pans de la population musulmane, écrit French, constituent le terreau dans lequel s'épanouit le terrorisme et le djihad. Il est donc faux d'affirmer, comme le font plusieurs, que les assassins fanatiques ne sont "pas des vrais musulmans" et que leur idéologie n'a "rien à voir" avec celles de leurs coreligionnaires.
Et c'est finalement au sommet de la pyramide qu'on retrouve les djihadistes actifs qui commettent des atrocités. Et ils ne sont pas qu'une poignée:
(...) It is from this fertile soil that jihadists grow. And here the numbers decisively belie the “few extremists” rhetoric. In Iran alone, the Revolutionary Guard represents a proportionate share of the population similar to the combined strength of the active-duty Army and Marines here in the United States. Between Boko Haram, the Al-Nusra front, ISIS, Hezbollah, Hamas, al-Qaeda, the Taliban, Yemeni militias, Libyan militias, and many others, the number of active jihadists numbers in the hundreds of thousands; some estimates indicate that 100,000 are fighting in Syria alone.
To give a sense of proportion, the United States is a nation that honors military service, respects its veterans, and engages in a massive military recruiting effort that includes offering soldiers generous salaries, pensions, benefits, and the best military equipment in the world. Even then, only about 0.4 percent of the American population engages in active-duty military service at any given time.
Jihadists, by contrast, have low life expectancies, second-rate gear, low salaries, and often have to break domestic laws and journey across battlefields to join terrorist insurgencies, but still they join. In Britain, for example, more Muslims join ISIS than join the British army.
French dénonce les mensonges des élites politiques et des médias qui répètent sans relâche le même message mensonger, servant inlassablement leurs condescendantes leçons à la population et évitant toujours de de nommer ou même de voir ou la réalité en face au nom de la soi-disant tolérance et de l'ouverture:
Simply put, America’s leaders actively deceive the American people about the sheer scale of Muslim hatred and commitment to jihad. Rather than tell us the truth, the Obama administration and the media aristocracy constantly lecture Americans about discrimination, apparently believing that only their scolding keeps the great redneck masses at bay.
Telling us the truth won’t send Americans on an anti-Muslim killing spree. Instead, it will make us no more radical than Egypt’s president, who briefly made headlines earlier this year after calling for a “revolution” in Islam and decrying faith traditions that he admitted had been “sacralized over the centuries.” Telling the truth can demonstrate the scale of the problem and at least begin the process of convincing the American people that there is no quick fix, that the defense of the nation will require courage and resolve over the long term.
Islam has a problem. It is Muslims’ responsibility to reform their own faith. It is America’s responsibility to defend itself and its citizens. Neither goal is advanced by telling convenient, politically correct lies. After 14 years of war, can we finally tell the truth?
Il faut cesser de se mettre la tête dans le sable et il faut regarder la vérité en face. L'angélisme et l'ouverture ont l'avantage de nous faire nous sentir bien et de nous convaincre de notre propre supériorité morale de personne "tolérante" et "non-raciste", mais concrètement, cela ne règle rien.
Se mettre la tête dans le sable et refuser de voir le problème ne nous approche pas d'une meilleure compréhension et encore moins d'une solution. Au contraire, il contribue à amplifier le problème.
Refuser de reconnaître l'alcoolisme d'un ami ne l'aide pas à régler son problème. Pire, le nier contribue à amplifier sa dépendance et ses comportements malsains, dangereux et autodestructeurs.
Le djihad est l'alcoolisme de l'Islam. C'est sa drogue dure.
Tant qu'on ne regardera pas le problème en pleine face, tant qu'on niera les liens entre la violence et l'idéologie musulmane, tant qu'on refusera de voir le rôle de la religion dans l'endoctrinement et la radicalisation, on ne sera pas en mesure de trouver des solutions et d'aider nos frères et soeurs musulmans à vaincre leur addiction et à briser le cycle de violence et de destruction.
Identifier les aspects toxiques de l'Islam ne signifie pas qu'on soit raciste ou qu'on déteste les musulmans. Au contraire, cela signifie que nous voulons leur bien! Les Québécois ont courageusement renversé la théocratie catholique qui les a dominés impitoyablement pendant des siècles! Nous devrions faire bénéficier les musulmans de notre expérience et de notre lutte de libération contre la religion.
Cessons de "respecter" des croyances irrationnelles, infondées et malsaines! Cessons de "respecter" des superstitions ancestrales ridicules. Cessons de "respecter" la manipulation, le mensonge et le délire. Cessons d'encourager et de financer l'endoctrinement religieux! Aidons les musulmans à briser leurs chaînes, comme nous l'avons fait. Aidons-les à sortir de la noirceur et à entrer avec nous dans la modernité!
En passant, remarquez que j'ai décidé de ne plus utiliser le terme "EI" et de dorénavant les appeler "Daech". Juste pour les faire chier.
Si le sujet vous intéresse et que vous souhaitez mieux comprendre cette question, jetez un coup d'oeil à ces autres billets qui traitent de l'Islam radical:
Entrevue avec Salman Rushdie
En finir avec ce tabou de la prétendue "islamophobie". Je le répète. Pourquoi ne pourrait-on débattre de l'islam ? Il est possible de respecter des individus, de les préserver de l'intolérance, tout en affichant son scepticisme envers leurs idées, voire en les critiquant farouchement.
Voilà un vidéo horrifiant et fascinant qui fait la démonstration de façon très claire que les croyances les plus abominables issues de l'Islam ne sont pas l'apanage des terroristes fanatiques, mais semblent plutôt être largement acceptées par les musulmans en général.
"J'ai décidé de combattre l'Islam. Attention, je dis bien: COMBATTRE L'ISLAM. Pas l'Islam politique, pas l'Islam militant, pas l'Islam radical, pas le wahhabisme, mais l'Islam tout court! Je crois vraiment que l'Occident a inventé ces termes pour satisfaire le politiquement correct. (...) L'islam n'a jamais été mal compris. L'Islam est le problème."
Ayaan Hirsi Ali dénonce le multiculturalisme
«Le multiculturalisme trahit les femmes et les enfants.»
Entrevue fort intéressante avec Abdelwahab Meddeb, le "Voltaire arabe".
Le poison au coeur de l'Islam
Il me semble évident que le principal responsable de l'islamisme, c'est l'Islam. C'est la religion qui fabrique des fanatiques. Et cette récente étude semble me donner raison.
Le Coran déborde de sourates monstrueuses. Un grand nombre de ces sourates ont été répertoriées sur ce site et sont même classifiées selon qu'elles sont violentes, intolérantes, machistes, vénales, incohérentes, qu'elles légalisent le pillage, qu'elles permettent à Mahomet de s’arroger le pouvoir ou encore qu'elles indiquent un «déséquilibre» dans le sens paranoïaque, mégalomane ou sans garde-fou moraux.
Plus de 40 000 personnes manifestaient dimanche selon la police à Karachi, dans le sud du Pakistan, contre toute révision de la loi prévoyant la peine de mort en cas de blasphème contre l'islam.
L'histoire des frères musulmans
"Il faut d'abord réformer l'individu musulman (...), après avoir réformer l'individu, il faut réformer la famille, après la famille, il faut réformer la société, après la société, il faut réformer l'état et conquérir la planète. L'ambition est là dès le début."
"Il faut d'abord réformer l'individu musulman (...), après avoir réformer l'individu, il faut réformer la famille, après la famille, il faut réformer la société, après la société, il faut réformer l'état et conquérir la planète. L'ambition est là dès le début."
Excellent papier de Bock-Côté: "Qui parle de radicalisation ou d’extrémisme violent sans évoquer l’islamisme est un farceur qui confesse au même moment son manque de courage. Il utilise le langage non pas pour désigner la réalité mais pour l’occulter, la dissimuler, l’embrouiller."
The reality is that the Islamic State is Islamic. Very Islamic. Yes, it has attracted psychopaths and adventure seekers, drawn largely from the disaffected populations of the Middle East and Europe. But the religion preached by its most ardent followers derives from coherent and even learned interpretations of Islam.
Le problème avec la tolérance religieuse...
You can think a religious belief is wrong without being intolerant. Tolerance is not synonymous with “believing someone else is right.” It is a virtue that allows you to coexist with people whose way of life is different from your own without throwing a temper tantrum, or a punch.
Extraits d'une entrevue avec Anjem Choudary, l'un des fanatiques les plus connus du Royaume-Uni qui souhaite l'imposition de la charia en Occident.