C'est ce que semble indiquer une récente étude de la NASA:
Et si la vie sur terre était née d'un choc électrique produit par des "conduits" au fond de l'océan? Une récente étude menée par une équipe de la NASA renforce une théorie scientifique sur les origines de la vie formulée une première fois en 1989 par Michael Russell.
L'étude, menée par Laura M. Barge et Russell, a été publiée dans la revue scientifique allemande Angewandte Chemie. Elle démontre comment ces "évents" -aussi connus sous le nom de monts hydrothermaux, ces cheminées qui évacuent une partie de la chaleur produite par la Terre- peuvent générer de l'énergie capable par exemple d'alimenter une petite ampoule en électricité.
Dans le laboratoire de la NASA, les recherches se sont articulées autour des déséquilibres chimiques observés sur ces "conduits" situés au fond des océans. Pour ce faire, l'équipe a tenté de recréer l'environnement et la structure chimique de leur revêtement.
La vie aurait donc pu naître grâce à ces constantes secousses électriques qui jalonnent le fond des océan. Les "évents" fonctionneraient comme une machine en perpétuel mouvement. Cette machine recracherait de l'hydrogène et du méthane, qui, combinés avec le dioxyde de carbone, formeraient ensuite des molécules puis des protéines.
Et si la vie sur terre était née d'un choc électrique produit par des "conduits" au fond de l'océan? Une récente étude menée par une équipe de la NASA renforce une théorie scientifique sur les origines de la vie formulée une première fois en 1989 par Michael Russell.
L'étude, menée par Laura M. Barge et Russell, a été publiée dans la revue scientifique allemande Angewandte Chemie. Elle démontre comment ces "évents" -aussi connus sous le nom de monts hydrothermaux, ces cheminées qui évacuent une partie de la chaleur produite par la Terre- peuvent générer de l'énergie capable par exemple d'alimenter une petite ampoule en électricité.
Dans le laboratoire de la NASA, les recherches se sont articulées autour des déséquilibres chimiques observés sur ces "conduits" situés au fond des océans. Pour ce faire, l'équipe a tenté de recréer l'environnement et la structure chimique de leur revêtement.
La vie aurait donc pu naître grâce à ces constantes secousses électriques qui jalonnent le fond des océan. Les "évents" fonctionneraient comme une machine en perpétuel mouvement. Cette machine recracherait de l'hydrogène et du méthane, qui, combinés avec le dioxyde de carbone, formeraient ensuite des molécules puis des protéines.