Comme vous le savez probablement, je suis à mettre la touche finale à mon livre et je prévois commencer à l'envoyer à des maisons d'éditions dans les semaines qui viennent. Mais avant cela, je tenais le faire lire à mon amie Sylvie. D'abord et avant tout parce qu'elle a enseigné 25 ans au primaire (elle est maintenant à l'éducation aux adultes) et elle connaît très bien le milieu. Deuxièmement, parce qu'elle est une femme et j'avais besoin d'un point de vue féminin. Ses révisions, ses corrections et ses commentaires ont été très, très constructifs.
À la fin, je lui ai posé quelques questions et je partage ici avec vous ses réponses.
Comment as-tu trouvé la fin?
Très, très bien. Ça fait réfléchir...
Est-ce que ça ajoute de la crédibilité au livre?
Oui, tout à fait. Au départ, je trouvais que le livre pouvait fort bien s'arrêter avant cette partie, mais je trouve maintenant que cette partie est un plus. Il est encore plus crédible.
Est-ce que je m'éloigne trop du sujet?
Pas du tout.
Est-ce que j'appuie mes arguments sur suffisamment de sources?
Tout à fait.
Est-ce que c'est intéressant?
Très! Tu mets à jour un non-dit de l'éducation au primaire. Un tabou qui doit être dénoncé. Je suis tellement contente que tu le fasses.
As-tu été surprise à quelques reprises?
Surprise par ce que tu as vécu? Non, parce que j'ai fait 25 ans au primaire et j'ai moi-même subi une direction qui était constamment sur mon dos parce qu'elle ne m'aimait pas. Et les autres prof se sont rangés du côté de la direction.
As-tu appris quelque chose?
Dans les études, oui. Mais le commun des mortels sera jeté par terre en lisant ton histoire. Pire, certains croiront probablement que tu exagères. Il est plus que temps de dénoncer ce problème. Les deux profs masculins avec qui je travaille me demandent constamment de venir dans leur classe lorsqu'ils rencontrent une élève. Ils ont la trouille, ils ont la chienne.
De ce que tu sais de l'enseignement, est-ce que c'est réaliste?
Très réaliste. Très, très, très! L'école primaire est gérée par des matrones et les femmes qui y travaillent ont un pouvoir malsain entre leurs mains. Une espèce de domination sur les enfants qui tue toute envie d'apprendre. Mes garçons en ont souffert et j'ai bien peur que mon petit-fils en souffre également.
Alors, voilà... et je vous rappelle que c'est une femme qui parle. Et elle va beaucoup plus loin que j'oserais le faire.
Sylvie croit toutefois que les maisons d'édition refuseront de publier le livre si je n'y appose pas mon vrai nom. Si elle a raisons sur ce point, alors le livre ne verra malheureusement jamais le jour. On verra bien.
À la fin, je lui ai posé quelques questions et je partage ici avec vous ses réponses.
Comment as-tu trouvé la fin?
Très, très bien. Ça fait réfléchir...
Est-ce que ça ajoute de la crédibilité au livre?
Oui, tout à fait. Au départ, je trouvais que le livre pouvait fort bien s'arrêter avant cette partie, mais je trouve maintenant que cette partie est un plus. Il est encore plus crédible.
Est-ce que je m'éloigne trop du sujet?
Pas du tout.
Est-ce que j'appuie mes arguments sur suffisamment de sources?
Tout à fait.
Est-ce que c'est intéressant?
Très! Tu mets à jour un non-dit de l'éducation au primaire. Un tabou qui doit être dénoncé. Je suis tellement contente que tu le fasses.
As-tu été surprise à quelques reprises?
Surprise par ce que tu as vécu? Non, parce que j'ai fait 25 ans au primaire et j'ai moi-même subi une direction qui était constamment sur mon dos parce qu'elle ne m'aimait pas. Et les autres prof se sont rangés du côté de la direction.
As-tu appris quelque chose?
Dans les études, oui. Mais le commun des mortels sera jeté par terre en lisant ton histoire. Pire, certains croiront probablement que tu exagères. Il est plus que temps de dénoncer ce problème. Les deux profs masculins avec qui je travaille me demandent constamment de venir dans leur classe lorsqu'ils rencontrent une élève. Ils ont la trouille, ils ont la chienne.
De ce que tu sais de l'enseignement, est-ce que c'est réaliste?
Très réaliste. Très, très, très! L'école primaire est gérée par des matrones et les femmes qui y travaillent ont un pouvoir malsain entre leurs mains. Une espèce de domination sur les enfants qui tue toute envie d'apprendre. Mes garçons en ont souffert et j'ai bien peur que mon petit-fils en souffre également.
Alors, voilà... et je vous rappelle que c'est une femme qui parle. Et elle va beaucoup plus loin que j'oserais le faire.
Sylvie croit toutefois que les maisons d'édition refuseront de publier le livre si je n'y appose pas mon vrai nom. Si elle a raisons sur ce point, alors le livre ne verra malheureusement jamais le jour. On verra bien.