Extrait de cet article qui révèle bien la mentalité de nos voisins anglophones:
Des universités anglophones québécoises affirment avoir des difficultés à recruter des professeurs étrangers en raison des exigences en français qui leur font obstacle lorsqu'elles tentent d'attirer chez elles des individus hautement spécialisés en provenance d'autres pays.
Commentaire de Mathieu Bock-Côté:
Le message est clair : pour ces messieurs dames de McGill et Concordia, le français est un obstacle au progrès, au Québec. Si nous pouvions nous en délivrer, nous en passer, nous pourrions enfin devenir une région nord-américaine comme les autres.
En gros, nous sommes de trop chez nous. Merci, on avait compris.
Je n'aurais pas dit mieux.
Des universités anglophones québécoises affirment avoir des difficultés à recruter des professeurs étrangers en raison des exigences en français qui leur font obstacle lorsqu'elles tentent d'attirer chez elles des individus hautement spécialisés en provenance d'autres pays.
Commentaire de Mathieu Bock-Côté:
Le message est clair : pour ces messieurs dames de McGill et Concordia, le français est un obstacle au progrès, au Québec. Si nous pouvions nous en délivrer, nous en passer, nous pourrions enfin devenir une région nord-américaine comme les autres.
En gros, nous sommes de trop chez nous. Merci, on avait compris.