Un autre édifiant et glorieux chapitre s'écrit dans la belle et grande saga du parti libéral du Québec:
C'est dans le cadre de la filature par l'Unité permanente anticorruption (UPAC) d'un ancien directeur du Parti libéral du Québec, Robert Parent, qu'est survenu l'accident qui a coûté la vie à un petit garçon de 5 ans le 13 février dernier sur le boulevard Gaétan-Boucher à Longueuil.
(...) Une lecture attentive des documents a permis de découvrir que la cible de la filature était Robert Parent, ex-directeur général du Parti libéral du Québec. Son nom est partout caviardé, son adresse, rue des Orchidées à Saint-Hubert, l'était aussi, mais elle a été oubliée sur la photocopie du calepin de bord d'un des policiers qui participait à l'opération.
(...) Dès le lendemain de cette rencontre, la SQ a enclenché une filature de jour et de soir sur l'ex-dirigeant du PLQ. Les limiers constatent alors que leur cible «est vu allé dans plusieurs endroits de l'île de Montréal, et la Rive-Nord de Montréal». Il se rend «entre autres dans un restaurant italien de Montréal y rencontrer un fonctionnaire» qui n'est pas identifié. Le mois suivant, en février 2014, M. Parent ne donne plus signe de vie aux enquêteurs, et même quand on le rejoint, il refuse désormais de rencontrer la police.
C'est dans le cadre de la filature par l'Unité permanente anticorruption (UPAC) d'un ancien directeur du Parti libéral du Québec, Robert Parent, qu'est survenu l'accident qui a coûté la vie à un petit garçon de 5 ans le 13 février dernier sur le boulevard Gaétan-Boucher à Longueuil.
(...) Une lecture attentive des documents a permis de découvrir que la cible de la filature était Robert Parent, ex-directeur général du Parti libéral du Québec. Son nom est partout caviardé, son adresse, rue des Orchidées à Saint-Hubert, l'était aussi, mais elle a été oubliée sur la photocopie du calepin de bord d'un des policiers qui participait à l'opération.
(...) Dès le lendemain de cette rencontre, la SQ a enclenché une filature de jour et de soir sur l'ex-dirigeant du PLQ. Les limiers constatent alors que leur cible «est vu allé dans plusieurs endroits de l'île de Montréal, et la Rive-Nord de Montréal». Il se rend «entre autres dans un restaurant italien de Montréal y rencontrer un fonctionnaire» qui n'est pas identifié. Le mois suivant, en février 2014, M. Parent ne donne plus signe de vie aux enquêteurs, et même quand on le rejoint, il refuse désormais de rencontrer la police.