Extrait de la nouvelle:
Le Commissariat aux langues officielles exhorte Ottawa à agir sans plus tarder pour pallier le déséquilibre migratoire dont les communautés francophones en situation minoritaire font les frais.
Le gouvernement fédéral ne devrait pas seulement établir des priorités dans la sélection des candidats en fonction de considérations économiques, mais aussi en tenant compte de la force vive que représente l’immigration francophone en situation minoritaire, soutient-on dans un rapport déposé mardi.
Car il existe actuellement un déséquilibre migratoire au chapitre de la langue parlée par les nouveaux arrivants qui débarquent au Canada, selon le commissaire Graham Fraser, qui a élaboré le document avec son homologue de l’Ontario, François Boileau.
Le Canada n’a jamais atteint la cible globale de 4% qu’il s’était fixée en matière d’immigration au sein des communautés francophones en situation minoritaire.
«Il est minuit moins une», a résumé la présidente de la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA), Marie-France Kenny, qui assistait à la conférence de presse.
Le Commissariat aux langues officielles exhorte Ottawa à agir sans plus tarder pour pallier le déséquilibre migratoire dont les communautés francophones en situation minoritaire font les frais.
Le gouvernement fédéral ne devrait pas seulement établir des priorités dans la sélection des candidats en fonction de considérations économiques, mais aussi en tenant compte de la force vive que représente l’immigration francophone en situation minoritaire, soutient-on dans un rapport déposé mardi.
Car il existe actuellement un déséquilibre migratoire au chapitre de la langue parlée par les nouveaux arrivants qui débarquent au Canada, selon le commissaire Graham Fraser, qui a élaboré le document avec son homologue de l’Ontario, François Boileau.
Le Canada n’a jamais atteint la cible globale de 4% qu’il s’était fixée en matière d’immigration au sein des communautés francophones en situation minoritaire.
«Il est minuit moins une», a résumé la présidente de la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA), Marie-France Kenny, qui assistait à la conférence de presse.