Martin Rouleau est ce Québécois converti à l'Islam qui a foncé sur deux militaires à Saint-Jean-sur-Richelieu, avant-hier. L'un d'eux, âgé de 53 ans, est mort hier.
À la radio, hier matin, il était question de "terrorisme" et de "maladie mentale".
Personne ne nommait le vrai problème, par crainte d'être taxé de xénophobe ou d'intolérant.
Pourtant, la vérité saute aux yeux. Ce type-là était un fanatique religieux. C'était probablement un pauvre type déprimé et influençable qui cherchait un sens à sa vie. L'Islam lui a mis le grappin dessus. Il s'est mis à croire les élucubrations des imams et de ses nouveaux coreligionnaires.
Peut-être a-t-il assisté à une conférence de Hamza Chaoui, un illuminé qui se plaît à déclarer que l'Islam est «complètement» incompatible avec la démocratie parce que les Parlements peuvent être notamment composés «d'un mécréant ou bien d'un homosexuel ou d'un athée qui affirme l'inexistence d'Allah».
Comme tous les autres fanatiques ignares comme lui, il s'est mis à voir l'Occident comme l'ennemi de sa foi. Il s'est mis à croire que son dieu était bien réel et qu'il avait une mission pour lui: tuer des infidèles.
Voilà le sens que l'Islam aura donné à sa vie.
S'il avait décidé de se consacrer à autre chose, comme à la cuisine, à la mécanique automobile ou au scoutisme, il ne serait pas mort aujourd'hui et sa victime non plus. C'est sans doute aussi vrai des autres illuminés qui sont derrière cette nouvelle attaque, aujourd'hui, à Ottawa.
Le problème n'est pas que ce type-là était déprimé. Il y a des millions de gens qui sont déprimés et ils ne vont pas tenter d'écraser des soldats avec leur voiture. L'ingrédient clé ici, ce n'est pas la dépression, c'est le fanatisme religieux. C'est le message empoisonné que véhicule la religion et, ces dernières années, particulièrement l'Islam. Or, non seulement on ne dénonce pas les religions, mais en plus, on les encourage, on les subventionne, on les exempte de taxes, on leur accorde leurs propres écoles et centres de propagande et on leur confère une aura de respect qu'elles ne méritent pas.
C'est ça la réalité qu'on a peur de nommer par crainte de froisser les croyants, d'être taxé d'intolérant, de raciste et de xénophobe.
Mais ça ne la rend pas moins vraie.
À la radio, hier matin, il était question de "terrorisme" et de "maladie mentale".
Personne ne nommait le vrai problème, par crainte d'être taxé de xénophobe ou d'intolérant.
Pourtant, la vérité saute aux yeux. Ce type-là était un fanatique religieux. C'était probablement un pauvre type déprimé et influençable qui cherchait un sens à sa vie. L'Islam lui a mis le grappin dessus. Il s'est mis à croire les élucubrations des imams et de ses nouveaux coreligionnaires.
Peut-être a-t-il assisté à une conférence de Hamza Chaoui, un illuminé qui se plaît à déclarer que l'Islam est «complètement» incompatible avec la démocratie parce que les Parlements peuvent être notamment composés «d'un mécréant ou bien d'un homosexuel ou d'un athée qui affirme l'inexistence d'Allah».
Comme tous les autres fanatiques ignares comme lui, il s'est mis à voir l'Occident comme l'ennemi de sa foi. Il s'est mis à croire que son dieu était bien réel et qu'il avait une mission pour lui: tuer des infidèles.
Voilà le sens que l'Islam aura donné à sa vie.
S'il avait décidé de se consacrer à autre chose, comme à la cuisine, à la mécanique automobile ou au scoutisme, il ne serait pas mort aujourd'hui et sa victime non plus. C'est sans doute aussi vrai des autres illuminés qui sont derrière cette nouvelle attaque, aujourd'hui, à Ottawa.
Le problème n'est pas que ce type-là était déprimé. Il y a des millions de gens qui sont déprimés et ils ne vont pas tenter d'écraser des soldats avec leur voiture. L'ingrédient clé ici, ce n'est pas la dépression, c'est le fanatisme religieux. C'est le message empoisonné que véhicule la religion et, ces dernières années, particulièrement l'Islam. Or, non seulement on ne dénonce pas les religions, mais en plus, on les encourage, on les subventionne, on les exempte de taxes, on leur accorde leurs propres écoles et centres de propagande et on leur confère une aura de respect qu'elles ne méritent pas.
C'est ça la réalité qu'on a peur de nommer par crainte de froisser les croyants, d'être taxé d'intolérant, de raciste et de xénophobe.
Mais ça ne la rend pas moins vraie.